Les trois organisations de défense de droits humains , la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH), la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) et Amnesty International Sénégal ont, dans un communiqué rendu public ce mardi, pointé du doigt la police suite à la mort du jeune Lamine Koita, survenu hier 10 février à Fatick.
Elles disent avoir "été informées du décès de Lamine KOITA survenu le 10 février 2020 suite à son interpellation par des agents du commissariat de police de Fatick". Aussi que "le défunt faisait partie d’un groupe de jeunes suspectés par la police de faire usage de chanvre indien" Et que "selon des témoignages concordants et circonstanciés, la victime aurait été conduite à la plage par les policiers qui l’ont battu jusqu’à ce qu’il vomisse du sang. Il a été par la suite transporté à l’hôpital régional où il a succombé à ses blessures".
Me Assane Dioma Ndiaye et Cie "exigent qu’une enquête impartiale et indépendante soit diligentée afin que la lumière soit faite sur ce décès et que les éventuels présumés coupables soient arrêtés et traduits devant la justice".
Hier lundi, les conducteurs de Jakarta de Fatick sont descendus dans les rues pour affronter les forces de l'ordre, après l'annonce du décès d'un des leurs. Ils ont accusé les policiers de l'avoir battu à mort.
Elles disent avoir "été informées du décès de Lamine KOITA survenu le 10 février 2020 suite à son interpellation par des agents du commissariat de police de Fatick". Aussi que "le défunt faisait partie d’un groupe de jeunes suspectés par la police de faire usage de chanvre indien" Et que "selon des témoignages concordants et circonstanciés, la victime aurait été conduite à la plage par les policiers qui l’ont battu jusqu’à ce qu’il vomisse du sang. Il a été par la suite transporté à l’hôpital régional où il a succombé à ses blessures".
Me Assane Dioma Ndiaye et Cie "exigent qu’une enquête impartiale et indépendante soit diligentée afin que la lumière soit faite sur ce décès et que les éventuels présumés coupables soient arrêtés et traduits devant la justice".
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