
La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH), la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) et Amnesty International Sénégal se sont exprimé, via un communiqué conjoint, sur le tragique incident qui a eu lieu mardi 23 heures à la chambre 11 de la prison de Rebeuss.
Ces trois organisations de défenses des droits humains "exigent l’ouverture d’une enquête indépendante et impartiale et soulignent qu’elles ont sans cesse décrié dans différents rapports la vétusté des locaux et des installations de cette prison, ainsi que son surpeuplement sources de dangers potentiels par rapport a l’intégrité physique et morale des détenus et de leur droit à la vie".
Elles exhortent le gouvernement du Sénégal "à mettre en œuvre le projet annoncé de construction d’une nouvelle prison dans la région de Dakar pour remplacer la Maison d’Arrêt et de Correction de Rebeuss qui ne répond pas aux normes et standards internationaux".
La Raddho, la Lsdh et Amesty international demandent aux autorités sénégalaises à trouver "des solutions au problème des longues détentions provisoires qui constituent la principale cause de la surpopulation carcérale et à instaurer le recours aux peines alternatives à l’emprisonnement pour certains types de délits".
Ces trois organisations de défenses des droits humains "exigent l’ouverture d’une enquête indépendante et impartiale et soulignent qu’elles ont sans cesse décrié dans différents rapports la vétusté des locaux et des installations de cette prison, ainsi que son surpeuplement sources de dangers potentiels par rapport a l’intégrité physique et morale des détenus et de leur droit à la vie".
Elles exhortent le gouvernement du Sénégal "à mettre en œuvre le projet annoncé de construction d’une nouvelle prison dans la région de Dakar pour remplacer la Maison d’Arrêt et de Correction de Rebeuss qui ne répond pas aux normes et standards internationaux".
La Raddho, la Lsdh et Amesty international demandent aux autorités sénégalaises à trouver "des solutions au problème des longues détentions provisoires qui constituent la principale cause de la surpopulation carcérale et à instaurer le recours aux peines alternatives à l’emprisonnement pour certains types de délits".
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