
Ce samedi soir à 1 heure du matin déjà, les abords de la route de l’aéroport refusent du monde. Il y’a eu des hommes de tout âge. Conduisent une voiture parfois ou un « scooter », avec à l’arrière une fille vêtue d’une jupe courte qui couvre à peine le quart de ses cuisses. Les endroits varient selon la bourse. Les plus nantis ont pris d’assaut le King Fahd Palace (ex-Méridien Présidentiel) pour assister à la prestation de Pape et Cheikh. Il faut débourser 15 000 FCFA par personne. Les plus jeunes ont préféré les discothèques. Entre les « Patio », « Nirvana » ou le « Duplex », il n’y a qu’à faire un choix.
Ici, point besoin d’argent, à moins de vouloir se refugier sous une tente fortuite. Tout est prévu pour passer de bons moments de chair. Il y a même une femme qui propose des « parasols ». Oui, c’est le non du code pour désigner les préservatifs. Alors il faut être du milieu pour le savoir, nous informent nos confrères du « Populaire » qui précisent que les prostituées doublent les tarifs et provoquent une longue file d’attente.
Située à quelques encablures du célèbre bar « Chez Iba », à Dieuppeul, l’auberge qui porte le nom « Ndayanne », est réputée pour ses chambres de passe où les prostituées ont fini d’élire domicile.
Pour ce dernier week-end avant le Ramadan, les pensionnaires de cette maison close se sont bien frotté les mains. Les voitures sont toujours en train de faire la queue, presque comme devant une guérite ou devant un poste de péage routier. Mais pour un « bégué », certains sont vraiment prêts à tout.
Ici, point besoin d’argent, à moins de vouloir se refugier sous une tente fortuite. Tout est prévu pour passer de bons moments de chair. Il y a même une femme qui propose des « parasols ». Oui, c’est le non du code pour désigner les préservatifs. Alors il faut être du milieu pour le savoir, nous informent nos confrères du « Populaire » qui précisent que les prostituées doublent les tarifs et provoquent une longue file d’attente.
Située à quelques encablures du célèbre bar « Chez Iba », à Dieuppeul, l’auberge qui porte le nom « Ndayanne », est réputée pour ses chambres de passe où les prostituées ont fini d’élire domicile.
Pour ce dernier week-end avant le Ramadan, les pensionnaires de cette maison close se sont bien frotté les mains. Les voitures sont toujours en train de faire la queue, presque comme devant une guérite ou devant un poste de péage routier. Mais pour un « bégué », certains sont vraiment prêts à tout.
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