
Daouda Gueye (FRAPP) interpelle les autorités sur le cas des « 16 détenus politiques » qui croupissent toujours en prison. Sur le coup de la loi d’amnistie initiée par l’ancien Président Macky Sall, des vagues de libérations se sont enchainées entre le 1er février et le 25 février 2024.
Cependant, selon le chargé de communication du mouvement FRAPP, 16 d’entre eux sont toujours dans les liens de la détention, entre les prisons de Dakar, Thiès et Ziguinchor.
« Beaucoup de détenus dits politiques ont été libérés, à l’exception de 16 qui demeurent dans les prisons du Sénégal. Il s’agit de Mamadi Aidara qui est actuellement à la prison de Rebeuss, dont le dossier est au niveau du 2e cabinet, d’Alioune Dieng qui est à la chambre 44 de la prison de Rebeuss, 6e cabinet. Il y a également Mouhamadou Abdoulaye Marcel Gningue, chambre 19 de la prison de Rebeuss, 1er cabinet, quatre au niveau du Camp pénal et d’autres qui sont dans les autres régions », a révélé le chargé de communication du FRAPP sur la RFM.
Daouda Guèye évoque des problèmes de procédures et interpelle les nouvelles autorités. « C’est dû à des problèmes de procédures et nous appelons les nouvelles autorités à diligenter la libération de tous ces détenus afin qu’ils puissent recouvrer la liberté », a -t-il lancé.
Cependant, selon le chargé de communication du mouvement FRAPP, 16 d’entre eux sont toujours dans les liens de la détention, entre les prisons de Dakar, Thiès et Ziguinchor.
« Beaucoup de détenus dits politiques ont été libérés, à l’exception de 16 qui demeurent dans les prisons du Sénégal. Il s’agit de Mamadi Aidara qui est actuellement à la prison de Rebeuss, dont le dossier est au niveau du 2e cabinet, d’Alioune Dieng qui est à la chambre 44 de la prison de Rebeuss, 6e cabinet. Il y a également Mouhamadou Abdoulaye Marcel Gningue, chambre 19 de la prison de Rebeuss, 1er cabinet, quatre au niveau du Camp pénal et d’autres qui sont dans les autres régions », a révélé le chargé de communication du FRAPP sur la RFM.
Daouda Guèye évoque des problèmes de procédures et interpelle les nouvelles autorités. « C’est dû à des problèmes de procédures et nous appelons les nouvelles autorités à diligenter la libération de tous ces détenus afin qu’ils puissent recouvrer la liberté », a -t-il lancé.
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