Les examens du baccalauréat de cette année 2024 sont marqués par beaucoup de cas de tricherie dans les différents centres du pays. Un fait qui n’est pas passé inaperçu chez les politiques. Invité de l’émission MidiKeng sur PressAfrik HD TV, Mamadou Lamine Dianté s’est prononcé sur cette question d’actualité qui a occupé l’espace public ces derniers jours.
En répondant sur les nombreux cas d’élèves qui ont été arrêtés lors de ces épreuves écrites du Baccalauréat, M. Dianté se montre intransigeant et applaudit les autorités académiques « les présidents de centres et jury n’ont fait qu’appliquer la loi. La loi dit que si vous avez vu un candidat qui possède un téléphone portable dans les salles d’examens, expulsez-le. On ne peut rien leur dire parce qu’ils ont fait respecter la loi. Si certains disent que les élèves sont têtus d’autres soutiennent que les autorités doivent être indulgentes. Mais toujours est-il que la loi est là. Et elle a été respectée à la lettre ».
Toutefois, le chef de fil du Mouvement pour une citoyenneté engagée MCE Andu Nawle plaide pour que cette même loi soit réformée. D’après lui les derniers évènements malheureux qui ont secoué l’école sénégalaise est « une occasion pour que les autorités revoient la loi en tant que telle. Elles doivent être évaluées ».
« Je me demande pourquoi si on arrête un élève qui a des documents dans son sac on le laisse passer. Alors ceux qui disposent un téléphone portable sont expulsés sur le coup. En quoi le portable est plus utile à l’élève que le livre ou son cahier. Il faut qu’ils évaluent. Si c’est nécessaire qu’ils la réforment. On va à une évaluation non pas pour sanctionner mais de pouvoir décerner le diplôme par mérite. Mais faut souligner qu’on ne va pas vers une évaluation avec le couteau derrière le dos » a souligné le membre de la coalition Diomaye Président.
S’agissant des cas de tricherie, Mamadou Lamine Dianté ne met pas de gants. « Je ne peux pas concevoir la tricherie. Tricher c’est comme voler les deniers publics. Si un élève triche à ce moment , il peut le faire un jour une fois qu’on lui confie un poste de responsabilité » fait-il savoir.
En répondant sur les nombreux cas d’élèves qui ont été arrêtés lors de ces épreuves écrites du Baccalauréat, M. Dianté se montre intransigeant et applaudit les autorités académiques « les présidents de centres et jury n’ont fait qu’appliquer la loi. La loi dit que si vous avez vu un candidat qui possède un téléphone portable dans les salles d’examens, expulsez-le. On ne peut rien leur dire parce qu’ils ont fait respecter la loi. Si certains disent que les élèves sont têtus d’autres soutiennent que les autorités doivent être indulgentes. Mais toujours est-il que la loi est là. Et elle a été respectée à la lettre ».
Toutefois, le chef de fil du Mouvement pour une citoyenneté engagée MCE Andu Nawle plaide pour que cette même loi soit réformée. D’après lui les derniers évènements malheureux qui ont secoué l’école sénégalaise est « une occasion pour que les autorités revoient la loi en tant que telle. Elles doivent être évaluées ».
« Je me demande pourquoi si on arrête un élève qui a des documents dans son sac on le laisse passer. Alors ceux qui disposent un téléphone portable sont expulsés sur le coup. En quoi le portable est plus utile à l’élève que le livre ou son cahier. Il faut qu’ils évaluent. Si c’est nécessaire qu’ils la réforment. On va à une évaluation non pas pour sanctionner mais de pouvoir décerner le diplôme par mérite. Mais faut souligner qu’on ne va pas vers une évaluation avec le couteau derrière le dos » a souligné le membre de la coalition Diomaye Président.
S’agissant des cas de tricherie, Mamadou Lamine Dianté ne met pas de gants. « Je ne peux pas concevoir la tricherie. Tricher c’est comme voler les deniers publics. Si un élève triche à ce moment , il peut le faire un jour une fois qu’on lui confie un poste de responsabilité » fait-il savoir.
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