Comme toutes les autres Asufor, celle de Cayar qui s’occupe de la distribution de l’eau dans la zone, est menacée dans sa forme actuelle, par la loi sur la réforme de la gestion de l’eau en milieu rural, qui les réduits à un rôle de représentation. Ce que ne veulent pas entendre les populations de Cayar. Elles l’ont vivement exprimé lors de l’inauguration du tout nouveau siège, devant Lansana Sakho directeur général de l’Office des forages ruraux (Ofor). « Nous vous demandons de dire au gouvernement de nous laisser notre Asufor », a déclaré Ndiassé maire de la Commune de Cayar. Avant d’ajouter que : « tout le monde a reconnu que l’Asufor de Cayar fonctionne comme il le faut. Donc nous, nous ne voulons pas de la privatisation. Nous somme au paradis en ce qui concerne la distribution de l’eau, et c’est comme si la loi veut nous en sortir vers une destination inconnue ».
Par ailleurs, Lansana Sakho soutient que tous les forages appartiennent à l’Etat. Selon lui, «la réforme n’est pas là, pour créer des problèmes ou arracher quoi que ce soit. Elle est là pour résoudre les problèmes de création d’emplois, pour régler les problèmes de compétitivité de l’agriculture et de l’élevage… ».
Selon « L’As », l’Asufor de Cayar a un taux de pénétration de 75%, avec un service assuré 24h/24h. Aujourd’hui au-delà de la prise en charge régulière d’une facture d’électricité mensuelle de 2,5 millions de F CFA, l’Asufor de Cayar à pu assurer une densification de son réseau sur une distance de 30 km, l’achat d’un groupe électrogène de 100 KVA pour faire face aux aléas des coupures d’électricité. Il s’y ajoute un siège fonctionnel d’un coût global de 30 millions de F CFA et un objectif de forage d’un second puits, le tout sur fonds propres.
Par ailleurs, Lansana Sakho soutient que tous les forages appartiennent à l’Etat. Selon lui, «la réforme n’est pas là, pour créer des problèmes ou arracher quoi que ce soit. Elle est là pour résoudre les problèmes de création d’emplois, pour régler les problèmes de compétitivité de l’agriculture et de l’élevage… ».
Selon « L’As », l’Asufor de Cayar a un taux de pénétration de 75%, avec un service assuré 24h/24h. Aujourd’hui au-delà de la prise en charge régulière d’une facture d’électricité mensuelle de 2,5 millions de F CFA, l’Asufor de Cayar à pu assurer une densification de son réseau sur une distance de 30 km, l’achat d’un groupe électrogène de 100 KVA pour faire face aux aléas des coupures d’électricité. Il s’y ajoute un siège fonctionnel d’un coût global de 30 millions de F CFA et un objectif de forage d’un second puits, le tout sur fonds propres.
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