Le ministre de la Justice s'est prononcé sur les dossiers judiciaires et les convocations d'anciens responsables du régime de Wade poursuivis pour enrichissement illicite. Il a répondu aussi aux accusations des avocats de Karim Wade sur sa supposée implication dans le rabat d'arrêt de la Cour Suprême.
Sans hésitation, Sidiki Kaba a dégagé en touche toutes accusations des avocats de Karim Wade de cadre de la traque des biens présumés mal acquis. Ces derniers disent que sa « main invisible » a influé sur la décision de la Cour Suprême concernant le rabat d'arrêt déclaré recevable. « Nous n'étions associés ni de près ni de loin à cette décision de justice », dit-il. Avant de poursuivre, pour le commentaire de la défense sur une décision de justice rendu par la Cour Suprême, le ministre de tutelle met les avocats devant leur responsabilité. « Je laisse faire leur travail ».
Interrogé sur l'affaire Samuel Sarr, Me Sidiki Kaba, effleure le fameux article 80. « C'est une disposition qui existe dans notre constitution qui veut dire que tout citoyen a besoin de protection. Si je vous avez diffamé ou si des propos où écrit portent atteinte à votre honneur ou votre considération, vous saisissez la justice qui se charge du reste ». Et de poursuivre : « Je suis ministre de la Justice, mon rôle et que l'Etat de droit soit respecté et que les intérêts de tous les citoyens soient garantis ». (Samuel Sarr) a, sans doute, maille à partir avec la justice, il est clair que la justice aura à dire quelles sont ses responsabilités pour les faits qui lui sont reprochés.
Les dispositions de notre législation prévoient qu'un citoyen qui a besoin de protection, si on l'atteint dans son honneur, parce qu'on le diffame, la justice doit le protéger et l'entendre. S'il a raison, les décisions seront prises dans ce sens. Mais si on estime que le chef de l'État est impliqué dans des choses et qu'on le dise et qu'on a la possibilité de le prouver, il va de soi que la justice en tirera les conséquences. De même que la justice tirera les conséquences si ce sont des affabulations », a laissé entendre Me Kaba à nos confrères de « L'As ».
Sans hésitation, Sidiki Kaba a dégagé en touche toutes accusations des avocats de Karim Wade de cadre de la traque des biens présumés mal acquis. Ces derniers disent que sa « main invisible » a influé sur la décision de la Cour Suprême concernant le rabat d'arrêt déclaré recevable. « Nous n'étions associés ni de près ni de loin à cette décision de justice », dit-il. Avant de poursuivre, pour le commentaire de la défense sur une décision de justice rendu par la Cour Suprême, le ministre de tutelle met les avocats devant leur responsabilité. « Je laisse faire leur travail ».
Interrogé sur l'affaire Samuel Sarr, Me Sidiki Kaba, effleure le fameux article 80. « C'est une disposition qui existe dans notre constitution qui veut dire que tout citoyen a besoin de protection. Si je vous avez diffamé ou si des propos où écrit portent atteinte à votre honneur ou votre considération, vous saisissez la justice qui se charge du reste ». Et de poursuivre : « Je suis ministre de la Justice, mon rôle et que l'Etat de droit soit respecté et que les intérêts de tous les citoyens soient garantis ». (Samuel Sarr) a, sans doute, maille à partir avec la justice, il est clair que la justice aura à dire quelles sont ses responsabilités pour les faits qui lui sont reprochés.
Les dispositions de notre législation prévoient qu'un citoyen qui a besoin de protection, si on l'atteint dans son honneur, parce qu'on le diffame, la justice doit le protéger et l'entendre. S'il a raison, les décisions seront prises dans ce sens. Mais si on estime que le chef de l'État est impliqué dans des choses et qu'on le dise et qu'on a la possibilité de le prouver, il va de soi que la justice en tirera les conséquences. De même que la justice tirera les conséquences si ce sont des affabulations », a laissé entendre Me Kaba à nos confrères de « L'As ».
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