Emmanuel Macron a « a réaffirmé le soutien de la France au gouvernement d’entente nationale, avec lequel la France poursuivra sa coopération », indique l'Elysée dans un communiqué.
Le président français a « a encouragé un cessez-le-feu sans conditions », après l'offensive lancée début avril par le maréchal Haftar, l'homme fort de l'est du pays. Il a proposé une « délimitation de la ligne de cessez-le-feu, sous supervision internationale, pour en définir le cadre précis », a précisé le palais présidentiel.
« Les deux dirigeants sont convenus de l'importance d'élargir et d'approfondir le dialogue avec l'ensemble des composantes de la nation libyenne, à l'est, au sud et à l'ouest, y compris avec la société civile », ajoute encore l'Elysée.
Le gouvernement de Fayez al-Sarraj, reconnu par la communauté internationale, avait récemment accusé la France de soutenir le maréchal Haftar dans son offensive contre Tripoli. La rencontre, à midi à l'Elysée, visait notamment à s'expliquer sur ces critiques de Tripoli que Paris juge « inacceptables et infondées », selon l'Elysée.
Quant à la proposition de cessez-le-feu, Fayez al-Sarraj et le GNA ont jusque-là rejeté tout accord de cessez-le-feu avant le retrait des troupes de Haftar vers les positions qu'elles occupaient avant l'attaque, dans l'est et le sud du pays.
Fayez al-Sarraj invite Paris à plus de clarté
Fayez al-Sarraj a qualifié la rencontre avec Emmanuel Macron de « positive »,
estimant sur France 24 que le président français avait été « très compréhensif », mais il a invité la France à « prendre une position plus claire » à l'avenir.
Le président français a « a encouragé un cessez-le-feu sans conditions », après l'offensive lancée début avril par le maréchal Haftar, l'homme fort de l'est du pays. Il a proposé une « délimitation de la ligne de cessez-le-feu, sous supervision internationale, pour en définir le cadre précis », a précisé le palais présidentiel.
« Les deux dirigeants sont convenus de l'importance d'élargir et d'approfondir le dialogue avec l'ensemble des composantes de la nation libyenne, à l'est, au sud et à l'ouest, y compris avec la société civile », ajoute encore l'Elysée.
Le gouvernement de Fayez al-Sarraj, reconnu par la communauté internationale, avait récemment accusé la France de soutenir le maréchal Haftar dans son offensive contre Tripoli. La rencontre, à midi à l'Elysée, visait notamment à s'expliquer sur ces critiques de Tripoli que Paris juge « inacceptables et infondées », selon l'Elysée.
Quant à la proposition de cessez-le-feu, Fayez al-Sarraj et le GNA ont jusque-là rejeté tout accord de cessez-le-feu avant le retrait des troupes de Haftar vers les positions qu'elles occupaient avant l'attaque, dans l'est et le sud du pays.
Fayez al-Sarraj invite Paris à plus de clarté
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estimant sur France 24 que le président français avait été « très compréhensif », mais il a invité la France à « prendre une position plus claire » à l'avenir.
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