Les acteurs du quatrième art en groupe très restreint ont échangé sur l’importance de la formation et de la production d’œuvres, capitale pour l’avenir du théâtre. Depuis 2004, la section Art dramatique de l’Ecole Nationale des Arts (ENA) n’a pas reçu d’élèves et la question de « l’impossibilité de renouvellement et de multiplication des acteurs du théâtre » se pose. Les acteurs du quatrième art sont tombés d’accord sur l’importance de la formation, en attendant un colloque de six (6) jours qu’ils comptent organiser avec l’ENA.
Pour le formateur en art dramatique, Mamadou Diop qui se prononçait sur les colonnes du "Quotidien", il ya une mauvaise volonté politique derrière le manque de formation des jeunes comédiens. Administrativement, la section Art dramatique n’est pas formée, mais informe M. Diallo, ce sont les candidatures qui manquent. « Le théâtre est vu comme un divertissement », regrette-t-il. Pour Mamadou Diop, le dossier de candidature à la formation en Art dramatique n’est dû qu’à l’absence de communication de la part de l’Ecole nationale des arts. Selon Macodou Mbengue, directeur artistique du Fest’art, la formation permettra de mettre fin à l’exploitation de jeunes comédiens dont le talent reste à être développé. De plus, informe-t-il, en se basant sur les statistiques, il n’y a pas une vingtaine de comédiens professionnels dans le pays. Les participants ont également relevé le manque de productivité de la troupe nationale dramatique du théâtre national Daniel Sorano. Son directeur, Sékou Lô a pour sa part, pointé du doigt le budget qui ne peut pas supporter.
Pour le formateur en art dramatique, Mamadou Diop qui se prononçait sur les colonnes du "Quotidien", il ya une mauvaise volonté politique derrière le manque de formation des jeunes comédiens. Administrativement, la section Art dramatique n’est pas formée, mais informe M. Diallo, ce sont les candidatures qui manquent. « Le théâtre est vu comme un divertissement », regrette-t-il. Pour Mamadou Diop, le dossier de candidature à la formation en Art dramatique n’est dû qu’à l’absence de communication de la part de l’Ecole nationale des arts. Selon Macodou Mbengue, directeur artistique du Fest’art, la formation permettra de mettre fin à l’exploitation de jeunes comédiens dont le talent reste à être développé. De plus, informe-t-il, en se basant sur les statistiques, il n’y a pas une vingtaine de comédiens professionnels dans le pays. Les participants ont également relevé le manque de productivité de la troupe nationale dramatique du théâtre national Daniel Sorano. Son directeur, Sékou Lô a pour sa part, pointé du doigt le budget qui ne peut pas supporter.
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