« En Avril 2013, le SYNTES avait clamé haut et fort que la crise de Senelec avait pour responsables l’Etat et ses alliés et non les travailleurs, ces cendrillons des salariés de tous secteurs et toutes branches confondus.
Nous venons d’en avoir la preuve avec la volonté de puissances invisibles, lugubres et prédatrices de prolonger d’une quinzaine d’années le contrat léonin entre Senelec et G.T.I.
Ce contrat qui prend fin en 2015 a couté à Senelec la bagatelle de 15 milliards de francs en prime fixe, c’est-à-dire, 400 millions de francs mensuels payées indépendamment de la facture d’énergie vendue par G.T.I à Senelec. Plus grave encore, la Centrale de GTI devait revenir à Senelec au terme du contrat attendu en 2015. Cela fera, si on n’y prend pas garde, 150 milliards et une Centrale perdus par Senelec.
Après avoir signé ce contrat et celui de la centrale à Gaz de Mauritanie qui coute 22 pour cent fois plus cher que la Centrale à charbon, on dira aux électeurs que le personnel a trop d’avantages pour expliquer la crise ultérieure de trésorerie qui va en découler. Et puis,ce sera autour des associations de consommateurs, des pseudo- imams et autres incendiaires des émissions « wax sa xalaat« par exemple de s’acharner sur le personnel supposé gâté.
Le SYNTES rappelle que la Senelec n’a pas connu d’augmentation substantielle de salaire depuis une trentaine d’années, en dehors de celle connue à la dévaluation du franc cfa.
Les travailleurs ne doivent pas l’accepter. Les populations non plus. Nous sommes tous victimes. Aussi, le SYNTES demande aux travailleurs de se mobiliser derrière la C.S.T.S pour empêcher la forfaiture.
Mobilisons-nous et menons les actions nécessaires pour faire aboutir quelques points de revendication essentielles notamment.
-Le respect par G.T.I du contrat qui le lie à Senelec en lui restituant les ouvrages dans les délais impartis, et sans prolongation de contrat.
-La diminution du prix de l’Energie de la Centrale à Gaz à un niveau raisonnable avant signature du contrat.
-L’augmentation des salaires de l’ensemble du personnel.
-L’embauche des travailleurs prestataires.
-La révision de la note sur le tarif préférentiel qui découle d’une injonction des bailleurs.
Le Syntes qui n’est pas inféodé à des Dg et / ou des Ministres, réaffirme son ancrage à la C.S.T.S, son appartenance à la C.N.T.S et s’engage à prendre une part active à ce combat et à tous les autres qui ont pour objet la défense des intérêts des travailleurs.
Bourse du Travaille 06 novembre 2013. »
Nous venons d’en avoir la preuve avec la volonté de puissances invisibles, lugubres et prédatrices de prolonger d’une quinzaine d’années le contrat léonin entre Senelec et G.T.I.
Ce contrat qui prend fin en 2015 a couté à Senelec la bagatelle de 15 milliards de francs en prime fixe, c’est-à-dire, 400 millions de francs mensuels payées indépendamment de la facture d’énergie vendue par G.T.I à Senelec. Plus grave encore, la Centrale de GTI devait revenir à Senelec au terme du contrat attendu en 2015. Cela fera, si on n’y prend pas garde, 150 milliards et une Centrale perdus par Senelec.
Après avoir signé ce contrat et celui de la centrale à Gaz de Mauritanie qui coute 22 pour cent fois plus cher que la Centrale à charbon, on dira aux électeurs que le personnel a trop d’avantages pour expliquer la crise ultérieure de trésorerie qui va en découler. Et puis,ce sera autour des associations de consommateurs, des pseudo- imams et autres incendiaires des émissions « wax sa xalaat« par exemple de s’acharner sur le personnel supposé gâté.
Le SYNTES rappelle que la Senelec n’a pas connu d’augmentation substantielle de salaire depuis une trentaine d’années, en dehors de celle connue à la dévaluation du franc cfa.
Les travailleurs ne doivent pas l’accepter. Les populations non plus. Nous sommes tous victimes. Aussi, le SYNTES demande aux travailleurs de se mobiliser derrière la C.S.T.S pour empêcher la forfaiture.
Mobilisons-nous et menons les actions nécessaires pour faire aboutir quelques points de revendication essentielles notamment.
-Le respect par G.T.I du contrat qui le lie à Senelec en lui restituant les ouvrages dans les délais impartis, et sans prolongation de contrat.
-La diminution du prix de l’Energie de la Centrale à Gaz à un niveau raisonnable avant signature du contrat.
-L’augmentation des salaires de l’ensemble du personnel.
-L’embauche des travailleurs prestataires.
-La révision de la note sur le tarif préférentiel qui découle d’une injonction des bailleurs.
Le Syntes qui n’est pas inféodé à des Dg et / ou des Ministres, réaffirme son ancrage à la C.S.T.S, son appartenance à la C.N.T.S et s’engage à prendre une part active à ce combat et à tous les autres qui ont pour objet la défense des intérêts des travailleurs.
Bourse du Travaille 06 novembre 2013. »
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