La première affaire de la troisième session de l'année judiciaire 2014 est un cas d'homicide volontaire pour lequel Souleymane Sow, un sexagénaire né en 1947, domicilié à Pikine Missirah, a été reconnu coupable. Il a été condamné à 10 ans de travaux forcés.
D'après le procès-verbal de la Gendarmerie, les faits au 26 avril 2007, quand le vieil homme s'est présenté devant les éléments de la brigade de Thiaroye, après avoir escaladé le mur de la brigade. Armé d'un couteau, le sieur Sow à déclaré craindre pour sa sécurité et soutenu avoir été agressé par des individus se trouvant dans le jardin du camp militaire de Thiaroye ou il fait du maraîchage. Peu après, trois individus se sont présentés à la brigade pour déclarer que Souleymane Sow vient de poignarder un individu en train d'agoniser. Les gendarmes ont trouvé sur le lieu du crime le corps sans vie de Modou Diop, atteint au cou.
Selon le journal « Enquête », entendu, M. Sow a dit avoir surpris la victime en train de déterrer des plants de tomate de dans le jardin d'un prénommé Lamine. L'ayant interpellé, la victime lui a répondu avec arrogance avant de lui asséner un coup violent de bâton à la tête alors qu'il traverse le jardin. Selon lui, un autre lui a porté un coup sur le côté gauche. Et bien qu'ils aient voulu l'empêcher de s'enfuir, il a réussi à escalader le mur pour échapper à ses agresseurs.
Toutefois, inculpé pour d'homicide volontaire, il a réfuté touts les faits qui lui sont reprochés, même s'il reconnaît être le propriétaire du couteau.
A la barre, il a une nouvelle fois réfuté les faits, en se présentant comme un disciple de Ghandi et partisan de la non-violence. S'appuyant sur le dossier d'accusation qui atteste d'une réelle volonté du prévenu de vouloir donner la mort, l'avocat a réclamé 15 ans de travaux forcés en l'encontre de Souleymane Sow.
L'avocat de la défense, lors de son réquisitoire, a dénoncé un travail d'enquête mal fait par la Gendarmerie et de graves manquements. « ...Et l'accusation ne repose sur les affaires d'un témoin qui n'a jamais pu identifier de manière formelle le prévenu et n'a pas assisté au meurtre de visu. En outre, depuis l'instruction du dossier, aucune reconstitution n'a été menée sur les lieux du crime. En fin de compte, aucun élément objectif ne prouve la culpabilité de mon client, donc je demande la relaxe », a-t-il argumenté.
Sur ses propos, la cour s'est retirée pour délibérer sur cette affaire.
D'après le procès-verbal de la Gendarmerie, les faits au 26 avril 2007, quand le vieil homme s'est présenté devant les éléments de la brigade de Thiaroye, après avoir escaladé le mur de la brigade. Armé d'un couteau, le sieur Sow à déclaré craindre pour sa sécurité et soutenu avoir été agressé par des individus se trouvant dans le jardin du camp militaire de Thiaroye ou il fait du maraîchage. Peu après, trois individus se sont présentés à la brigade pour déclarer que Souleymane Sow vient de poignarder un individu en train d'agoniser. Les gendarmes ont trouvé sur le lieu du crime le corps sans vie de Modou Diop, atteint au cou.
Selon le journal « Enquête », entendu, M. Sow a dit avoir surpris la victime en train de déterrer des plants de tomate de dans le jardin d'un prénommé Lamine. L'ayant interpellé, la victime lui a répondu avec arrogance avant de lui asséner un coup violent de bâton à la tête alors qu'il traverse le jardin. Selon lui, un autre lui a porté un coup sur le côté gauche. Et bien qu'ils aient voulu l'empêcher de s'enfuir, il a réussi à escalader le mur pour échapper à ses agresseurs.
Toutefois, inculpé pour d'homicide volontaire, il a réfuté touts les faits qui lui sont reprochés, même s'il reconnaît être le propriétaire du couteau.
A la barre, il a une nouvelle fois réfuté les faits, en se présentant comme un disciple de Ghandi et partisan de la non-violence. S'appuyant sur le dossier d'accusation qui atteste d'une réelle volonté du prévenu de vouloir donner la mort, l'avocat a réclamé 15 ans de travaux forcés en l'encontre de Souleymane Sow.
L'avocat de la défense, lors de son réquisitoire, a dénoncé un travail d'enquête mal fait par la Gendarmerie et de graves manquements. « ...Et l'accusation ne repose sur les affaires d'un témoin qui n'a jamais pu identifier de manière formelle le prévenu et n'a pas assisté au meurtre de visu. En outre, depuis l'instruction du dossier, aucune reconstitution n'a été menée sur les lieux du crime. En fin de compte, aucun élément objectif ne prouve la culpabilité de mon client, donc je demande la relaxe », a-t-il argumenté.
Sur ses propos, la cour s'est retirée pour délibérer sur cette affaire.
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