A cette occasion, le Dr Salouhou venu de Paris et disposant en la matière d’une grande expérience professionnelle a apporté deux études de cas pratiques qui représentent un enjeu et une opportunité pour l’Afrique. Il serait intéressant selon lui, de voir comment l’économie de la connaissance à travers les filières techniques et scientifiques est primordiale s’agissant de l’employabilité et de la création de richesse.
Professeur de stratégie et gestion de conflit au CASR3PM, Colonel Mamadou HADJI de relancer: « Ce n’est pas la recherche de la compétence qui est importante mais plutôt celui de l’incompétence. Un homme compétent doit toujours chercher de l’incompétence. On a parlé de l’enseignement, recherche, formation mais moi je vais parler de l’enseignement, formation, recherche parce qu’il faut relier l’enseignement à la formation et à partir de là on parlera de la recherche. J’ai appris à l’école la méthode de raisonnement tactique ».
Pour ce dernier, c’est comment faire de l’enseignement, de la formation et de la recherche qui est le levier pour le développement économique du Sénégal et de l’Afrique à l’heure du village planétaire. Il va plus loin en interpellant la volonté divine. Pour lui, l’enseignement c’est Dieu » car, dit-il « Ce n’est pas par hasard qu’il s’est adressé à nous par un livre : le Coran, la Bible, la Tora. L’histoire du Prophète, Dieu ne lui a pas dit prier, mais lit. Donc, la lecture vient même avant la prière. Cheikh Ahmadou KANE disait dans l’aventure ambiguë que la connaissance est une forme de prière, si elle est englobée ».
Le Pr. Alioune NIANG, Directeur national de l’IADL, se dit ravi de la formation et de l’expérience qu’il a partagé avec les Etudiants de l’IADL. « Aujourd’hui je suis ravi parce que la formation s’est bien déroulée et aujourd’hui nous voilà à la dernière étape, l’étape de certification de petits papiers. L’enseignement, la recherche et la formation tous les trois défendent la même chose. C’est l’habilitation de l’être humain qui devrait être détenteur de connaissance, de compétence et constructeur de valeur. Lorsqu’on enseigne, c’est comme si on recule l’individu de l’obscurité des ténèbres pour le plonger dans la lumière, le savoir.
Le Professeur Moussa SECK, Président du PANAAC, invite pour sa part, les Sénégalais en particulier les Africains à s’intéresser à la recherche. « Il y a environ un mois j’ai été en Egypte pour étudier la position du Sphinx de Gizeh. Je voulais savoir exactement où passait au niveau du Sphinx le Méridien Central. Parce que dans nos études et recherche nous avons trouvé que le méridien ne passait pas par des niches. Nous avons fait des études pures et dures et on s’est rendu compte que le méridien central passait sur la tête du Sphinx et va rencontrer l’Equateur au niveau du lac Victoria… », dit-il.
Pour le Pr ce n’est pas quelque chose de fondamentalement scientifique. Ce, «étant donné que les longitudes ont la même longueur donc n’importe quel méridien pouvait devenir le méridien horaire. Voilà maintenant comment nous les Africains devons réfléchir », a-t-il conseillé. Pour lui, l’Afrique est au centre du monde géographiquement et à la pointe du progrès prenant comme témoin les pyramides d’Egypte. L’être humain le plus riche de tous les temps est non seulement un Africain Malien mais il a pris ces richesses au Sénégal. C’est Kankan Moussa, qui a pu tirer sa richesse des mines du Boundou », a rappelé le Professeur Mamadou SY TOUNKARA. Il invite chacun à jouer sa partition.
Professeur de stratégie et gestion de conflit au CASR3PM, Colonel Mamadou HADJI de relancer: « Ce n’est pas la recherche de la compétence qui est importante mais plutôt celui de l’incompétence. Un homme compétent doit toujours chercher de l’incompétence. On a parlé de l’enseignement, recherche, formation mais moi je vais parler de l’enseignement, formation, recherche parce qu’il faut relier l’enseignement à la formation et à partir de là on parlera de la recherche. J’ai appris à l’école la méthode de raisonnement tactique ».
Pour ce dernier, c’est comment faire de l’enseignement, de la formation et de la recherche qui est le levier pour le développement économique du Sénégal et de l’Afrique à l’heure du village planétaire. Il va plus loin en interpellant la volonté divine. Pour lui, l’enseignement c’est Dieu » car, dit-il « Ce n’est pas par hasard qu’il s’est adressé à nous par un livre : le Coran, la Bible, la Tora. L’histoire du Prophète, Dieu ne lui a pas dit prier, mais lit. Donc, la lecture vient même avant la prière. Cheikh Ahmadou KANE disait dans l’aventure ambiguë que la connaissance est une forme de prière, si elle est englobée ».
Le Pr. Alioune NIANG, Directeur national de l’IADL, se dit ravi de la formation et de l’expérience qu’il a partagé avec les Etudiants de l’IADL. « Aujourd’hui je suis ravi parce que la formation s’est bien déroulée et aujourd’hui nous voilà à la dernière étape, l’étape de certification de petits papiers. L’enseignement, la recherche et la formation tous les trois défendent la même chose. C’est l’habilitation de l’être humain qui devrait être détenteur de connaissance, de compétence et constructeur de valeur. Lorsqu’on enseigne, c’est comme si on recule l’individu de l’obscurité des ténèbres pour le plonger dans la lumière, le savoir.
Le Professeur Moussa SECK, Président du PANAAC, invite pour sa part, les Sénégalais en particulier les Africains à s’intéresser à la recherche. « Il y a environ un mois j’ai été en Egypte pour étudier la position du Sphinx de Gizeh. Je voulais savoir exactement où passait au niveau du Sphinx le Méridien Central. Parce que dans nos études et recherche nous avons trouvé que le méridien ne passait pas par des niches. Nous avons fait des études pures et dures et on s’est rendu compte que le méridien central passait sur la tête du Sphinx et va rencontrer l’Equateur au niveau du lac Victoria… », dit-il.
Pour le Pr ce n’est pas quelque chose de fondamentalement scientifique. Ce, «étant donné que les longitudes ont la même longueur donc n’importe quel méridien pouvait devenir le méridien horaire. Voilà maintenant comment nous les Africains devons réfléchir », a-t-il conseillé. Pour lui, l’Afrique est au centre du monde géographiquement et à la pointe du progrès prenant comme témoin les pyramides d’Egypte. L’être humain le plus riche de tous les temps est non seulement un Africain Malien mais il a pris ces richesses au Sénégal. C’est Kankan Moussa, qui a pu tirer sa richesse des mines du Boundou », a rappelé le Professeur Mamadou SY TOUNKARA. Il invite chacun à jouer sa partition.
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