L'acte III de la décentralisation est un processus qui n'est pas encore achevé et il continue de faire des mécontents au niveau des associations de régions. Pour une mise à niveau sur l'avancement du projet, le ministre de l'Aménagement du Territoire et des Collectivités locales, Me Oumar Youm a convoqué une conférence de presse.
Ayant comme vision, « des territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable », la reforme poursuit un certain nombre d'objectifs. C'est entre autres construire une cohérence territoriale, clarifier les relations entres acteurs et améliorer les mécanismes de financement du développement territorial.
Ainsi, le ministre de tutelle, Me Oumar Youm, remet les pendules à l'heure pour couper libre cours aux bruits qui font état d'une suppression d'emplois avec la disparition des régions. « Il précise que la suppression des régions n’entraînera pas une perte d'emploi, mais c'est plutôt une opportunité pour recruter d'avantages des agents », précise t-il.
Partageant la vision du ministre sur le sort qui sera réservé aux employés des collectivités qui vont disparaître, Amadou Khouma, porte parole de l'intersyndicale, affirme veiller au grain. « Je tiens à signifier aux travailleurs que notre souci reste la sauvegarde des emplois et des acquis. Et ces préoccupations seront prises en compte », renseigne M. Khouma. D'ailleurs, le ministère a pris toutes les dispositions en mettant en place une commission ad hoc, pour le redéploiement du personnel des régions.
Avec ce nouveau code général des collectivités locales, permet la création future de 42 conseils départementaux et 385 conseils municipaux. Selon le rapport présenté par le ministre sur l'évolution du projet, un audit est engagé pour identifier le nombre des agents des conseils régionaux qui serait environ 1100, d'après les informations.
Pour ce qui est des inquiétudes par rapport à la coopération décentralisée, soulevées par l'Association des Régions du Sénégal, le ministre informe qu'il n'y aura aucune incidence. Selon le conseiller technique du ministère en décentralisation, « il y a pas de catégorisation dans la coopération décentralisée ». En plus, tous les acteurs et partenaires sont déjà informés de cette situation, selon, Me Youm.
Les résultats déjà obtenu par rapport à cette reforme sont : la communalisation intégrale ; la départementalisation qui devient l'échelon intermédiaire entre l'Etat et la commune ; la formulation de pôles territoriale de développement et la suppression des conseils régionaux.
Ayant comme vision, « des territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable », la reforme poursuit un certain nombre d'objectifs. C'est entre autres construire une cohérence territoriale, clarifier les relations entres acteurs et améliorer les mécanismes de financement du développement territorial.
Ainsi, le ministre de tutelle, Me Oumar Youm, remet les pendules à l'heure pour couper libre cours aux bruits qui font état d'une suppression d'emplois avec la disparition des régions. « Il précise que la suppression des régions n’entraînera pas une perte d'emploi, mais c'est plutôt une opportunité pour recruter d'avantages des agents », précise t-il.
Partageant la vision du ministre sur le sort qui sera réservé aux employés des collectivités qui vont disparaître, Amadou Khouma, porte parole de l'intersyndicale, affirme veiller au grain. « Je tiens à signifier aux travailleurs que notre souci reste la sauvegarde des emplois et des acquis. Et ces préoccupations seront prises en compte », renseigne M. Khouma. D'ailleurs, le ministère a pris toutes les dispositions en mettant en place une commission ad hoc, pour le redéploiement du personnel des régions.
Avec ce nouveau code général des collectivités locales, permet la création future de 42 conseils départementaux et 385 conseils municipaux. Selon le rapport présenté par le ministre sur l'évolution du projet, un audit est engagé pour identifier le nombre des agents des conseils régionaux qui serait environ 1100, d'après les informations.
Pour ce qui est des inquiétudes par rapport à la coopération décentralisée, soulevées par l'Association des Régions du Sénégal, le ministre informe qu'il n'y aura aucune incidence. Selon le conseiller technique du ministère en décentralisation, « il y a pas de catégorisation dans la coopération décentralisée ». En plus, tous les acteurs et partenaires sont déjà informés de cette situation, selon, Me Youm.
Les résultats déjà obtenu par rapport à cette reforme sont : la communalisation intégrale ; la départementalisation qui devient l'échelon intermédiaire entre l'Etat et la commune ; la formulation de pôles territoriale de développement et la suppression des conseils régionaux.
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