À Goudiry (est), la tension est palpable entre les conducteurs de moto Jakaarta et les autorités locales. Ces derniers, furieux contre les conditions imposées pour la confection de leurs pièces administratives, ont décidé de se faire entendre. Ce lundi, une marche pacifique a été organisée pour protester contre l'exiguïté des locaux dédiés et pour exiger plus de flexibilité dans les délais imposés.
Les conducteurs de Jakaarta ont arboré des brassards rouges lors de cette manifestation. Selon leur porte-parole, Bocar Sy, cette marche vise à dénoncer le manque de temps accordé pour la réalisation des formalités d’immatriculation. "Notre marche s'explique du fait que les autorités ne nous aient accordé qu'un jour pour nous occuper de nos formalités. Or, cela ne nous arrange pas. Dans un département comme Goudiry, on ne peut pas faire les plaques d'immatriculation en un jour. C'est impossible", a-t-il affirmé.
Le porte-parole a également rappelé que cette mesure concerne non seulement les motos, mais aussi les tricycles dans tout le département. "Le préfet nous a fait récemment comprendre que ceux devant s'occuper des formalités passeront une journée à Goudiry", a-t-il ajouté, exprimant ainsi l'inadéquation de cette décision face à l'ampleur de la tâche.
Toutefois, Bocar Sy a précisé que les conducteurs de Jakaarta ne sont pas contre l’immatriculation de leurs engins, mais qu'ils souhaitent simplement que leurs préoccupations soient prises en compte. "Nous tenons à manifester notre mécontentement et nous voulons nous faire entendre par le préfet, et même le gouverneur", a-t-il conclu.
Les conducteurs de Jakaarta ont arboré des brassards rouges lors de cette manifestation. Selon leur porte-parole, Bocar Sy, cette marche vise à dénoncer le manque de temps accordé pour la réalisation des formalités d’immatriculation. "Notre marche s'explique du fait que les autorités ne nous aient accordé qu'un jour pour nous occuper de nos formalités. Or, cela ne nous arrange pas. Dans un département comme Goudiry, on ne peut pas faire les plaques d'immatriculation en un jour. C'est impossible", a-t-il affirmé.
Le porte-parole a également rappelé que cette mesure concerne non seulement les motos, mais aussi les tricycles dans tout le département. "Le préfet nous a fait récemment comprendre que ceux devant s'occuper des formalités passeront une journée à Goudiry", a-t-il ajouté, exprimant ainsi l'inadéquation de cette décision face à l'ampleur de la tâche.
Toutefois, Bocar Sy a précisé que les conducteurs de Jakaarta ne sont pas contre l’immatriculation de leurs engins, mais qu'ils souhaitent simplement que leurs préoccupations soient prises en compte. "Nous tenons à manifester notre mécontentement et nous voulons nous faire entendre par le préfet, et même le gouverneur", a-t-il conclu.
Autres articles
-
Cybersécurité : le Sénégal dispose d’un CERT, mais il n’est pas pleinement opérationnel
-
« L’Église catholique n’est pas encore prête à avoir un Pape noir » (Cardinal Théodore Adrien Sarr)
-
Dérapages lors des Fosco : l’Unapees interpelle les chefs d’établissement et le ministère de l’Éducation
-
Lutte contre les violences et le harcèlement au travail : les femmes de l’UNSAS plaident pour la ratification de la convention 190 de l’OIT
-
Décès d'une passagère dans un vol Royal Air Maroc : la famille porte plainte pour "non-assistance"