Selon Alioune Dansokho, ce report s’explique par « l’engagement des enseignants dans la décrispation de la crise scolaire et universitaire de l’année académique 2011/2012 (qui a ayant occasionné) prolongement de leurs activités professionnelles avec des cours de renforcement et de rattrapage mais aussi la tenue des deux sessions pour les examens de fin d’année ».
Plus loin, il ajoute : « l’organisation des examens de la deuxième session et l’implication de tous les acteurs de l’éducation ne militent pas pour une bonne organisation de la journée mondiale des enseignants ».
« Ces facteurs conjoncturels justifient naturellement la décision de la commission du comité national du 5 octobre de reporter la célébration de la Journée mondiale des Enseignants au mois de novembre », affirme M. Dansokho.
Selon lui, « les nouvelles autorités ne semblent pas mesurer à sa juste valeur l’importance de cette journée mondiale instaurée par l’UNESCO (…) ».
Interrogé sur le statut de l’enseignant dans le contexte actuel, Alioune Dansokho a répondu : « L’enseignant est incompris, il faut que les autorités aient plus de considération envers lui ».
La Journée mondiale des enseignants se tient chaque année le 5 octobre, depuis 1994, afin de célébrer « le rôle essentiel que jouent les enseignants pour offrir une éducation de qualité à tous les niveaux », selon l’UNESCO cité par l’Agence de presse sénégalaise (Aps).
Dans le cadre de la célébration de l’évènement, Irina Bokova, Directrice générale de l’UNESCO, a déclaré : « Les enseignants […] définissent, au bout du compte, notre capacité collective à innover, à inventer, à trouver des solutions pour l’avenir. Rien ne remplacera jamais un bon enseignant. Rien n’est plus important que de les soutenir », selon la même source.
La journée mondiale des enseignants commémore également l’anniversaire de la signature, en 1966, de la Recommandation de l’UNESCO et de l’OIT concernant la condition du personnel enseignant.
Plus loin, il ajoute : « l’organisation des examens de la deuxième session et l’implication de tous les acteurs de l’éducation ne militent pas pour une bonne organisation de la journée mondiale des enseignants ».
« Ces facteurs conjoncturels justifient naturellement la décision de la commission du comité national du 5 octobre de reporter la célébration de la Journée mondiale des Enseignants au mois de novembre », affirme M. Dansokho.
Selon lui, « les nouvelles autorités ne semblent pas mesurer à sa juste valeur l’importance de cette journée mondiale instaurée par l’UNESCO (…) ».
Interrogé sur le statut de l’enseignant dans le contexte actuel, Alioune Dansokho a répondu : « L’enseignant est incompris, il faut que les autorités aient plus de considération envers lui ».
La Journée mondiale des enseignants se tient chaque année le 5 octobre, depuis 1994, afin de célébrer « le rôle essentiel que jouent les enseignants pour offrir une éducation de qualité à tous les niveaux », selon l’UNESCO cité par l’Agence de presse sénégalaise (Aps).
Dans le cadre de la célébration de l’évènement, Irina Bokova, Directrice générale de l’UNESCO, a déclaré : « Les enseignants […] définissent, au bout du compte, notre capacité collective à innover, à inventer, à trouver des solutions pour l’avenir. Rien ne remplacera jamais un bon enseignant. Rien n’est plus important que de les soutenir », selon la même source.
La journée mondiale des enseignants commémore également l’anniversaire de la signature, en 1966, de la Recommandation de l’UNESCO et de l’OIT concernant la condition du personnel enseignant.
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