Le SEN a d’abord rendu hommage au Khalife général des Layènes, Cheikh Mouhamadou Makhtar Laye, récemment décédé. « Homme de foi et de dialogue », le guide spirituel est salué pour « sa profonde dimension spirituelle » reconnue au-delà des frontières du Sénégal. L’APR a présenté ses condoléances à la communauté layène et à la Oummah islamique.
Le parti a également exprimé sa tristesse suite au décès de Mamadou Badio Camara, ancien président du Conseil constitutionnel, saluant un homme dont la vie fut « entièrement dédiée au service de l’État ».
L’APR a félicité, par ailleurs, l’ex-chef de l’État Macky Sall pour sa nomination au Conseil de la Fondation Mo Ibrahim. Pour le SEN, cette reconnaissance « honore le Sénégal » et témoigne de la stature internationale de l’ancien président. Le parti a vivement dénoncé les critiques formulées à l’encontre de cette nomination, les qualifiant d’« inélégantes », rappelant l’engagement notoire de la Fondation en matière de gouvernance.
Sur le plan institutionnel, le SEN soutient le recours déposé par des députés de l’opposition devant le Conseil constitutionnel, contestant la constitutionnalité de la loi 2025/08, votée le 2 avril dernier. Le parti se dit confiant quant à une décision « conforme au droit, sans haine, comme l’aurait souhaité feu Mamadou Badio Camara ».
Le communiqué exprime également une vive inquiétude face à la situation économique actuelle, évoquant la morosité ambiante, les licenciements massifs de jeunes, ainsi que des atteintes à la liberté de la presse et des agressions contre des activistes.
Le SEN a dénoncé le « harcèlement » dont serait victime leur camarade Mansour Faye, empêché selon eux de voyager à nouveau, malgré une décision de justice en sa faveur. L’APR qualifie cet acte d’« acharnement inqualifiable » à l’encontre d’un ancien ministre et actuel maire.
Le parti exige par ailleurs la libération immédiate de trois députés de l’opposition, Farba Ngom, Lat Diop et Abdoulaye Ndiaye qu’il considère comme des « otages du régime » et victimes de règlements de comptes politiques.
Sur le plan international, le parti se dit préoccupé par les tensions croissantes entre l’Algérie et le Mali. Fidèle à sa ligne panafricaniste, l’APR appelle les deux pays au calme et à la retenue, soulignant que seule la paix peut favoriser l’émergence économique du continent.
Le parti a également exprimé sa tristesse suite au décès de Mamadou Badio Camara, ancien président du Conseil constitutionnel, saluant un homme dont la vie fut « entièrement dédiée au service de l’État ».
L’APR a félicité, par ailleurs, l’ex-chef de l’État Macky Sall pour sa nomination au Conseil de la Fondation Mo Ibrahim. Pour le SEN, cette reconnaissance « honore le Sénégal » et témoigne de la stature internationale de l’ancien président. Le parti a vivement dénoncé les critiques formulées à l’encontre de cette nomination, les qualifiant d’« inélégantes », rappelant l’engagement notoire de la Fondation en matière de gouvernance.
Sur le plan institutionnel, le SEN soutient le recours déposé par des députés de l’opposition devant le Conseil constitutionnel, contestant la constitutionnalité de la loi 2025/08, votée le 2 avril dernier. Le parti se dit confiant quant à une décision « conforme au droit, sans haine, comme l’aurait souhaité feu Mamadou Badio Camara ».
Le communiqué exprime également une vive inquiétude face à la situation économique actuelle, évoquant la morosité ambiante, les licenciements massifs de jeunes, ainsi que des atteintes à la liberté de la presse et des agressions contre des activistes.
Le SEN a dénoncé le « harcèlement » dont serait victime leur camarade Mansour Faye, empêché selon eux de voyager à nouveau, malgré une décision de justice en sa faveur. L’APR qualifie cet acte d’« acharnement inqualifiable » à l’encontre d’un ancien ministre et actuel maire.
Le parti exige par ailleurs la libération immédiate de trois députés de l’opposition, Farba Ngom, Lat Diop et Abdoulaye Ndiaye qu’il considère comme des « otages du régime » et victimes de règlements de comptes politiques.
Sur le plan international, le parti se dit préoccupé par les tensions croissantes entre l’Algérie et le Mali. Fidèle à sa ligne panafricaniste, l’APR appelle les deux pays au calme et à la retenue, soulignant que seule la paix peut favoriser l’émergence économique du continent.
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