Ce poste de santé traditionnel a reçu une équipe de jeunes ostéopathes françaises, par l’intermédiaire d’une Association Ostéopathies Solidarité Développement (OSD). Ce, pour aider les gens qui n’ont pas accès à ces soins de façon bénévole. Elle offre aux patients un environnement approprié à l’exercice de la médecine traditionnelle africaine.
« Avec ses bâtiments simples, cet hôpital assure totalement la préparation des médications traditionnelles qui lui sont nécessaires pour les traitements des diverses affections. Les médicament sont vendu à 1000 F CFA l’unité », informe le Directeur Djibril BA.
Selon lui, « l’hôpital Traditionnel de Keur Massar, fondé par le Docteur Yvette Parès, met en place une alternative thérapeutique crédible en développant une gamme élargie de médicaments traditionnels améliorés ».
Le Directeur Djibril Ba, la cinquantaine bien sonnée, portant des lunettes revient sur la création et la vocation de l’hôpital. « L’hôpital a été fondé en 1980 par le Docteur Yvette Parès. Au début c’est juste un centre expérimental qui sort directement de la faculté des sciences. C’est là-bas où elle a cultivé le Bacille de Hansen. Il a eu l’idée d’expérimenter les traitements traditionnels anti-lépreux avec les guérisseurs c’est avec ceux là, et avec ces essais concluants, qu'Yvette Parès a créé cette hôpital. Au début, elle ne s’occupait que de la lèpre. Mais après les gens sont venus avec d’autres pathologies. Nous étions obligés de les prendre en charge. Nous évoluons comme toutes les autres structures médicales et autres soit pour consulter soit pour orienter, etc. Maintenant nous avons arrêté le volet de la lèpre. On n'hospitalise plus, mais nous nous concentrons d’avantage sur les autres maladies. On est devenu un centre de médecine traditionnel tout court », a-t-il rappelé.
Il ajoute : « Nous avons essayé de proposer un prototype d’organisation de la médecine traditionnelle, en reconstituant le circuit du médicament depuis le jardin. On plante les arbres, en suite on les récolte, on les met en préparation ensuite, elles donnent des médicaments jusqu’aux guérisseurs qui donnent les médicaments aux patients ».
Selon le Directeur Djibril Ba, « depuis sa création l’hôpital de Keur Massar a toujours été un point culturel de brassage interculturel entre les européens et les africains. Au début ici il y a 15 anS de cela, vous auriez trouvé plus de plantes médicinales européennes, que de plantes médicinales africaines. Mais, c’est à la suite, maintenant quand Madame Pares s’est retirée que nous nous sommes concentrés davantage sur les plantes africaines, que nous connaissons mieux et avec lesquelles nous pouvons établir des relations avec les guérisseurs d’ici et d’ailleurs (des guérisseurs Nigériens) ».
Cette structure traditionnelle de Keur-massar présente différents types de protocoles, des produits utilisés et leur indication. Selon lui, le seul protocole qui marche, c’est le protocole de l’hépatite.
En effet, plusieurs protocoles thérapeutiques sont utilisés au niveau de cet hôpital par exemple : le protocole W (maladie de Lyme), protocole NB (neuroborreliose), protocole X (Sida), protocole Y (Hépatites), protocole Z (Cancer), protocole ZCU (Cancer du col de l’utérus), etc. il dispose aussi des produits pour des traitements interne et externe. Par exemple : la poudre antibiotique indiquée pour la dermatose, siti, MST, psoriasis (traitement interne). Pour ce qui est du traitement externes : il y a l’huile BB (baobab) indiquée pour des tâches de la peau, allergies cutanées, chevelure, entre autres produits.
« Avec ses bâtiments simples, cet hôpital assure totalement la préparation des médications traditionnelles qui lui sont nécessaires pour les traitements des diverses affections. Les médicament sont vendu à 1000 F CFA l’unité », informe le Directeur Djibril BA.
Selon lui, « l’hôpital Traditionnel de Keur Massar, fondé par le Docteur Yvette Parès, met en place une alternative thérapeutique crédible en développant une gamme élargie de médicaments traditionnels améliorés ».
Le Directeur Djibril Ba, la cinquantaine bien sonnée, portant des lunettes revient sur la création et la vocation de l’hôpital. « L’hôpital a été fondé en 1980 par le Docteur Yvette Parès. Au début c’est juste un centre expérimental qui sort directement de la faculté des sciences. C’est là-bas où elle a cultivé le Bacille de Hansen. Il a eu l’idée d’expérimenter les traitements traditionnels anti-lépreux avec les guérisseurs c’est avec ceux là, et avec ces essais concluants, qu'Yvette Parès a créé cette hôpital. Au début, elle ne s’occupait que de la lèpre. Mais après les gens sont venus avec d’autres pathologies. Nous étions obligés de les prendre en charge. Nous évoluons comme toutes les autres structures médicales et autres soit pour consulter soit pour orienter, etc. Maintenant nous avons arrêté le volet de la lèpre. On n'hospitalise plus, mais nous nous concentrons d’avantage sur les autres maladies. On est devenu un centre de médecine traditionnel tout court », a-t-il rappelé.
Il ajoute : « Nous avons essayé de proposer un prototype d’organisation de la médecine traditionnelle, en reconstituant le circuit du médicament depuis le jardin. On plante les arbres, en suite on les récolte, on les met en préparation ensuite, elles donnent des médicaments jusqu’aux guérisseurs qui donnent les médicaments aux patients ».
Selon le Directeur Djibril Ba, « depuis sa création l’hôpital de Keur Massar a toujours été un point culturel de brassage interculturel entre les européens et les africains. Au début ici il y a 15 anS de cela, vous auriez trouvé plus de plantes médicinales européennes, que de plantes médicinales africaines. Mais, c’est à la suite, maintenant quand Madame Pares s’est retirée que nous nous sommes concentrés davantage sur les plantes africaines, que nous connaissons mieux et avec lesquelles nous pouvons établir des relations avec les guérisseurs d’ici et d’ailleurs (des guérisseurs Nigériens) ».
Cette structure traditionnelle de Keur-massar présente différents types de protocoles, des produits utilisés et leur indication. Selon lui, le seul protocole qui marche, c’est le protocole de l’hépatite.
En effet, plusieurs protocoles thérapeutiques sont utilisés au niveau de cet hôpital par exemple : le protocole W (maladie de Lyme), protocole NB (neuroborreliose), protocole X (Sida), protocole Y (Hépatites), protocole Z (Cancer), protocole ZCU (Cancer du col de l’utérus), etc. il dispose aussi des produits pour des traitements interne et externe. Par exemple : la poudre antibiotique indiquée pour la dermatose, siti, MST, psoriasis (traitement interne). Pour ce qui est du traitement externes : il y a l’huile BB (baobab) indiquée pour des tâches de la peau, allergies cutanées, chevelure, entre autres produits.
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