Parole de politicien varie, bien fol est qui s'y fie, pour ne pas paraphraser Victor Hugo. En 2012, alors que l'arrêté Ousmane Ngom, du nom du ministre de l'Intérieur d'alors, venait d'interdire aux Sénégalais d'organiser toute manifestation aux abords de la Place de l'Indépendance, l'actuel président de la République (à l'époque candidat à la Présidentielle) a pris sa plume et écrit au Haut Commissaire des Nations Unies pour dénoncer ce qu'il appelait "une violation du Droit inaliénable de tout peuple à s'exprimer librement et à manifester pacifiquement".
7 ans plus tard, c'est le même politicien qui, au courant de son deuxième mandat présidentiel, qui cautionne la répression d'une manifestation à la Place de l'Indépendance.
Les paroles s'en vont, les écrits restent...
7 ans plus tard, c'est le même politicien qui, au courant de son deuxième mandat présidentiel, qui cautionne la répression d'une manifestation à la Place de l'Indépendance.
Les paroles s'en vont, les écrits restent...
Autres articles
-
Réformes et modernisation : l’Assemblée nationale dévoilera le bilan des 6 mois d’El Malick Ndiaye, ce jeudi
-
Agropol Nord : des véhicules destinés au projet volés, des marchés fictifs, des fonds détournés, selon la Sr
-
Location de voiture à l'Etat : 16,57 milliards de F Cfa versés à Lansar Auto 5 jours après la présidentielle 2024
-
Transactions suspectes de 10 milliards de F Cfa : Serigne Abdou Karim Mbacké envoyé en prison
-
Affaire Farba Ngom : ses avocats dénoncent une “dérive judiciaire” et des “violations graves” des droits de la défense