Une bataille juridique et territoriale fait rage entre la société Quality Végétables Sénégal (QVS) et la SCI Nouvelle Ville du Sénégal (NVS) autour d'un périmètre agricole de 180 hectares situé dans la commune de Keur Moussa ( dans le département de Thiès). Depuis 2019, QVS exploite cette zone conformément à un protocole d'accord avec l'État, tandis que la NVS revendique un droit réel sur une partie de ce terrain en vertu d'un décret présidentiel de 2022, relate Les Échos.
Mbaye Seck, conseiller technique de QVS, remet en question la légalité du décret présidentiel, indiquant le manque de précision quant à la localisation géographique du périmètre affecté à la NVS. Il accuse également l'État de contradiction en accordant un protocole d'accord à QVS pour une exploitation agricole, puis en affectant ultérieurement une partie de ce même terrain à un projet immobilier. Seck affirme que QVS a investi près de 4,9 milliards de francs CFA dans le développement agricole de la région, reflétant le risque de pertes d'emplois et d'investissements si l'exploitation devait cesser.
En réponse à cette impasse, QVS a appelé à l'arbitrage de l'État, estimant que c'est ce dernier qui est à l'origine du conflit en délivrant des actes contradictoires aux parties concernées. Le directeur technique de QVS insiste sur la nécessité d'un dialogue entre toutes les parties pour résoudre ce différend et préserver les emplois et les investissements dans le secteur agricole.
Mbaye Seck, conseiller technique de QVS, remet en question la légalité du décret présidentiel, indiquant le manque de précision quant à la localisation géographique du périmètre affecté à la NVS. Il accuse également l'État de contradiction en accordant un protocole d'accord à QVS pour une exploitation agricole, puis en affectant ultérieurement une partie de ce même terrain à un projet immobilier. Seck affirme que QVS a investi près de 4,9 milliards de francs CFA dans le développement agricole de la région, reflétant le risque de pertes d'emplois et d'investissements si l'exploitation devait cesser.
En réponse à cette impasse, QVS a appelé à l'arbitrage de l'État, estimant que c'est ce dernier qui est à l'origine du conflit en délivrant des actes contradictoires aux parties concernées. Le directeur technique de QVS insiste sur la nécessité d'un dialogue entre toutes les parties pour résoudre ce différend et préserver les emplois et les investissements dans le secteur agricole.
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