Absent du landerneau politique depuis l’avènement du président Sall le 25 mars au second tour de l’élection présidentielle 2012 contre Wade, Talla Sylla se signale à travers un « panel sur le thème : L’impunité et l’abus de pouvoir : Quelles réformes pour mieux lutter contre ces fléaux ». Tout pour rappeler au pouvoir en place les « meurtres de feus Omar Blondin Diop (11 mai 1973), Me Babacar Sèye (15 mai 1993), Balla Gaye (31 janvier 2001), Malick Bâ (30 mai 2011) et Mamadou Diop (31 janvier 2012) qui demeurent gravées dans la mémoire collective des Sénégalais ».
Une manifestation de l’Alliance Jëf-Jël ce samedi à partir de 16 heures à l’hôtel Le Ndiambour pour « identifier les formes d’impunité imputables à la faiblesse du système judiciaire, renforcer les acquis et préconiser des réformes capables de garantir le respect des droits fondamentaux des citoyens, sans aucune forme de discrimination ».
« La société sénégalaise a connu des soubresauts aux plans politique, social et économique avec leur lot de crimes et d’exactions multiformes restés impunis. Notre pays, au cours de sa récente histoire, a connu des crimes non encore élucidés ou traités dans la plus grande nébulosité. Des citoyens ont été menacés, agressés, assassinés ou victimes de tortures et autres actes de violence, en général durant les périodes électorales, alors qu’ils ne faisaient qu’assumer leurs devoirs ou exercer leurs droits et libertés civils et politiques garantis par la loi fondamentale de notre pays », assènent Talla Sylla et ses partisans qui évoqueront la mémoire des feus Omar Blondin Diop (11 mai 1973), Me Babacar Sèye (15 mai 1993), Balla Gaye (31 janvier 2001), Malick Bâ (30 mai 2011), Mamadou Diop (31 janvier 2012), dont les meurtres « demeurent gravées dans la mémoire collective des Sénégalais ».
Une manifestation de l’Alliance Jëf-Jël ce samedi à partir de 16 heures à l’hôtel Le Ndiambour pour « identifier les formes d’impunité imputables à la faiblesse du système judiciaire, renforcer les acquis et préconiser des réformes capables de garantir le respect des droits fondamentaux des citoyens, sans aucune forme de discrimination ».
« La société sénégalaise a connu des soubresauts aux plans politique, social et économique avec leur lot de crimes et d’exactions multiformes restés impunis. Notre pays, au cours de sa récente histoire, a connu des crimes non encore élucidés ou traités dans la plus grande nébulosité. Des citoyens ont été menacés, agressés, assassinés ou victimes de tortures et autres actes de violence, en général durant les périodes électorales, alors qu’ils ne faisaient qu’assumer leurs devoirs ou exercer leurs droits et libertés civils et politiques garantis par la loi fondamentale de notre pays », assènent Talla Sylla et ses partisans qui évoqueront la mémoire des feus Omar Blondin Diop (11 mai 1973), Me Babacar Sèye (15 mai 1993), Balla Gaye (31 janvier 2001), Malick Bâ (30 mai 2011), Mamadou Diop (31 janvier 2012), dont les meurtres « demeurent gravées dans la mémoire collective des Sénégalais ».
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24