Rendu public, le rapport Doing Business 2015 : au-delà de l’efficience constate que le Bénin, la République Démocratique du Congo, la Côte d'Ivoire, le Sénégal et le Togo sont parmi les 10 premiers pays ayant le plus amélioré leur réglementation des affaires parmi les189 économies couvertes par le rapport. Depuis 2005, tous les pays de la région ont amélioré l'environnement réglementaire des affaires pour les petites et moyennes entreprises- le Rwanda en tête, suivi par Maurice et la Sierra Leone.
La série de rapports montre qu'au cours des cinq dernières années, 11 différent pays en Afrique Subsaharienne sont apparus sur la liste annuelle des10 économies qui ont fait le plus de progrès, selon les indicateurs de mesure de Doing Business. Certains l'ont même été à plusieurs reprises - le Burundi, la République de Cabo Verde, la Côte d'Ivoire et le Rwanda.
«Les économies d'Afrique subsaharienne ont fait des progrès notables ces 10 dernières années en réduisant les contraintes réglementaires relatives à l’environnement des affaires», a déclaré Melissa Johns, Conseillère, Group des indicateurs mondiaux,Économie du développement, Groupe de la Banque mondiale. «Nos données montrent que l'Afrique subsaharienne a enregistré le plus grand nombre de réformes sur 2013/14 ayant facilité le climat des affaires, avec 75 réformes sur les 230recensées à travers le monde. Pourtant, malgré ces réformes, des défis persistent dans la région. Par exemple,l'incorporation d’entreprises continue d’être plus coûteuse et complexe en moyenne que dans toute autre région».
Le rapport constate que le Sénégal a mis en œuvre des réformes dans six des10 domaines suivis par Doing Business– soit le plus grand total cette année. Grâce à ces réformes, le Sénégal réduit progressivement l'écart avec les meilleures pratiques observées ailleurs. En 2005, par exemple, l’importation des marchandises provenant d’outremer prenait27 jours.Aujourd'hui, il faut14 jours, soit autant qu’en Pologne.
Pour la première fois cette année, Doing Business a recueilli les données pour la deuxième ville commerciale dans les 11 économies où la population est de plus de 100 millions d’habitants. Au Nigeria, le rapport analyse donc maintenant la réglementation des affaires à Kano ainsi qu’à Lagos.
Le rapport de cette année élargit l’étendue des données de trois des10thèmes abordés, et il est prévu d’en élargir cinq autres l'année prochaine. En outre, le classement de la facilité à faire des affaires est désormais basé sur l’index de la distance de la frontière. Cette mesure montre à quel niveau chaque économie se situe par rapport aux meilleures pratiques mondiales en matière de réglementation des affaires.Un score plus élevé indique un environnement d'affaires plus efficace et des institutions juridiques plus solides.
Le rapport constate queSingapour est en têteduclassement mondialsurla facilitéàfaire des affaires. La Nouvelle-Zélande; la Région Administrative Spéciale de Hong Kong (Chine); le Danemark; la République de Corée; la Norvège; lesÉtats-Unis;leRoyaume-Uni; laFinlande; et l’Australie suivent dans la liste des 10premières économiesoù l’environnement est les plusfavorable aux affaires.
La série de rapports montre qu'au cours des cinq dernières années, 11 différent pays en Afrique Subsaharienne sont apparus sur la liste annuelle des10 économies qui ont fait le plus de progrès, selon les indicateurs de mesure de Doing Business. Certains l'ont même été à plusieurs reprises - le Burundi, la République de Cabo Verde, la Côte d'Ivoire et le Rwanda.
«Les économies d'Afrique subsaharienne ont fait des progrès notables ces 10 dernières années en réduisant les contraintes réglementaires relatives à l’environnement des affaires», a déclaré Melissa Johns, Conseillère, Group des indicateurs mondiaux,Économie du développement, Groupe de la Banque mondiale. «Nos données montrent que l'Afrique subsaharienne a enregistré le plus grand nombre de réformes sur 2013/14 ayant facilité le climat des affaires, avec 75 réformes sur les 230recensées à travers le monde. Pourtant, malgré ces réformes, des défis persistent dans la région. Par exemple,l'incorporation d’entreprises continue d’être plus coûteuse et complexe en moyenne que dans toute autre région».
Le rapport constate que le Sénégal a mis en œuvre des réformes dans six des10 domaines suivis par Doing Business– soit le plus grand total cette année. Grâce à ces réformes, le Sénégal réduit progressivement l'écart avec les meilleures pratiques observées ailleurs. En 2005, par exemple, l’importation des marchandises provenant d’outremer prenait27 jours.Aujourd'hui, il faut14 jours, soit autant qu’en Pologne.
Pour la première fois cette année, Doing Business a recueilli les données pour la deuxième ville commerciale dans les 11 économies où la population est de plus de 100 millions d’habitants. Au Nigeria, le rapport analyse donc maintenant la réglementation des affaires à Kano ainsi qu’à Lagos.
Le rapport de cette année élargit l’étendue des données de trois des10thèmes abordés, et il est prévu d’en élargir cinq autres l'année prochaine. En outre, le classement de la facilité à faire des affaires est désormais basé sur l’index de la distance de la frontière. Cette mesure montre à quel niveau chaque économie se situe par rapport aux meilleures pratiques mondiales en matière de réglementation des affaires.Un score plus élevé indique un environnement d'affaires plus efficace et des institutions juridiques plus solides.
Le rapport constate queSingapour est en têteduclassement mondialsurla facilitéàfaire des affaires. La Nouvelle-Zélande; la Région Administrative Spéciale de Hong Kong (Chine); le Danemark; la République de Corée; la Norvège; lesÉtats-Unis;leRoyaume-Uni; laFinlande; et l’Australie suivent dans la liste des 10premières économiesoù l’environnement est les plusfavorable aux affaires.
[[1]]url:#_ftnref1 Exclut le Soudan du Sud, qui a été ajouté en 2013 à la liste des économies couvertes par Doing Business.
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