Des revendications et des plaintes ont été enregistrées ces derniers temps concernant la présence remarquée de sucre dans les produits Nestlé. Le ministre du Commerce et de l’Industrie, Serigne Guèye Diop qui avait été saisi à ce sujet, dit avoir reçu la direction de Nestlé Sénégal en ce sens.
Le ministre a fait savoir lors de son passage sur le plateau du « Grand Jury du dimanche » qu’il y a une référence qui est très importante. Les normes alimentaires sont régies par le codex alimentaire pour les bébés, pour les produits sucrés, les produits salés. Il y a des normes ISO, ce qu'on appelle les normes ISO 9000, les normes ISO 45000, les normes ISO 21000 qui ont pour but d'examiner la véracité de ces phénomènes. « On s'est rendu compte que dans le codex alimentaire, le taux de sucre doit être aux alentours de 12 % sur la valeur des produits. Ça ne doit pas le dépasser. Nous avons demandé que, dans ce cadre, Nestlé respecte ces normes. Ils nous ont dit qu'effectivement, ils ont baissé le taux de sucre ».
Par ailleurs, le ministre a expliqué que « l’'ANAC a fait beaucoup d'analyses sur les laits infantiles ; tous ces laits pour enfants, les céréales également et on s'est rendu compte qu'en termes de taux de sucre, ils ont respecté les normes de 12 % et au niveau des laits comme les laits maternels. Il n'y a même pas de sucre ajouté en réalité ».
Il a toutefois renseigné qu’il n'y a aucune réglementation sénégalaise qui empêche l'ajout de sucre, parce que là aussi, il ne faut pas qu'on mette des normes qui n'existent pas. On a demandé aux gens d'être raisonnables. On va respecter la norme qui est de 12 % de sucre ajouté, mais on ne va pas permettre aux industriels d'être à 15 ou à 20 % de sucre, parce que là, c'est justement à ces niveaux-là qu'on risque d'avoir les addictions ».
Le ministre a fait savoir lors de son passage sur le plateau du « Grand Jury du dimanche » qu’il y a une référence qui est très importante. Les normes alimentaires sont régies par le codex alimentaire pour les bébés, pour les produits sucrés, les produits salés. Il y a des normes ISO, ce qu'on appelle les normes ISO 9000, les normes ISO 45000, les normes ISO 21000 qui ont pour but d'examiner la véracité de ces phénomènes. « On s'est rendu compte que dans le codex alimentaire, le taux de sucre doit être aux alentours de 12 % sur la valeur des produits. Ça ne doit pas le dépasser. Nous avons demandé que, dans ce cadre, Nestlé respecte ces normes. Ils nous ont dit qu'effectivement, ils ont baissé le taux de sucre ».
Par ailleurs, le ministre a expliqué que « l’'ANAC a fait beaucoup d'analyses sur les laits infantiles ; tous ces laits pour enfants, les céréales également et on s'est rendu compte qu'en termes de taux de sucre, ils ont respecté les normes de 12 % et au niveau des laits comme les laits maternels. Il n'y a même pas de sucre ajouté en réalité ».
Il a toutefois renseigné qu’il n'y a aucune réglementation sénégalaise qui empêche l'ajout de sucre, parce que là aussi, il ne faut pas qu'on mette des normes qui n'existent pas. On a demandé aux gens d'être raisonnables. On va respecter la norme qui est de 12 % de sucre ajouté, mais on ne va pas permettre aux industriels d'être à 15 ou à 20 % de sucre, parce que là, c'est justement à ces niveaux-là qu'on risque d'avoir les addictions ».
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