Le Secrétariat National de l’Organisation des Instituteurs du Sénégal (OIS) dans le but de s'inscrire dans la nouvelle dynamique de transformation du système éducatif en société éducative invite l'État à rendre opérationnels les établissements inondés, pacifier l’espace scolaire par le règlement définitif de la question des enseignants décisionnaires, résorber les abris provisoires de même que les classes spéciales, (classes à double flux et classe multigrade, recruter dans le Privé les enseignants titulaires du CAP ou du CEAP pour combler le gap actuel.
Selon Babacar Mbaye Ngaraf, secrétaire général de l'Ois, "l'Etat doit aussi doter les écoles de matériaux conformes aux exigences du curriculum, mais, également, partager avec les instituteurs les modalités d’introduction de l’enseignement de l’Anglais à l’école élémentaire".
Pour l'aspect soulevé par le Ministre de l’Éducation relatif à un retour à une école publique de qualité, "l'ambition de retourner l’école publique à ses lustres d’antan, redorer le blason, n’est pas démesurée, encore moins irréaliste, pour peu que chacun des acteurs (Etat, parents d’élèves, Collectivités Territoriales, enseignants) joue convenablement sa partition comme si la victoire finale ne dépendait que de son seul engagement", a soutenu l'Ois. Ajoutant : "Pour ces enseignants, il nous faut, nous Sénégalais "faire ce qui est à notre portée avant de solliciter de l’autre, ce qui nous dépasse...".
Ces enseignants déplorent, l’absence des collectivités territoriales dans la prise en charge des difficultés dans certaines zones : "Il est inadmissible que des établissements restent inondés et infréquentables jusqu’après l’ouverture des classes ou que des élèves s’assoient sur des nattes ou, à même le sol, pour faire cours, sous le regard indifférent des autorités."
Selon Babacar Mbaye Ngaraf, secrétaire général de l'Ois, "l'Etat doit aussi doter les écoles de matériaux conformes aux exigences du curriculum, mais, également, partager avec les instituteurs les modalités d’introduction de l’enseignement de l’Anglais à l’école élémentaire".
Pour l'aspect soulevé par le Ministre de l’Éducation relatif à un retour à une école publique de qualité, "l'ambition de retourner l’école publique à ses lustres d’antan, redorer le blason, n’est pas démesurée, encore moins irréaliste, pour peu que chacun des acteurs (Etat, parents d’élèves, Collectivités Territoriales, enseignants) joue convenablement sa partition comme si la victoire finale ne dépendait que de son seul engagement", a soutenu l'Ois. Ajoutant : "Pour ces enseignants, il nous faut, nous Sénégalais "faire ce qui est à notre portée avant de solliciter de l’autre, ce qui nous dépasse...".
Ces enseignants déplorent, l’absence des collectivités territoriales dans la prise en charge des difficultés dans certaines zones : "Il est inadmissible que des établissements restent inondés et infréquentables jusqu’après l’ouverture des classes ou que des élèves s’assoient sur des nattes ou, à même le sol, pour faire cours, sous le regard indifférent des autorités."
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