Le Projet 2 du Programme multinational de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2-P2RS) a été lancé ce mardi 25 juin devant les acteurs de la région de Matam. C'était au cours d'un comité régional de développement (CRD).
S'adossant au « principe qu'une solution durable à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel nécessite le développement de la résilience au changement climatique, le financement à long terme du secteur agricole et le développement du commerce et l'intégration régionale », la phase 2 du projet entend « contribuer à l'amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et des conditions de vie des populations du Sahel ».
Au Sénégal, la phase 1, qui a été mise en œuvre de 2015 à 2020, a permis de « renforcer les moyens d'existence de plus de 60 000 ménages à travers des actions de soutien direct aux plus vulnérables (…) ».
La deuxième phase qui vient d'être lancée ambitionne « d'augmenter sur une base durable et résiliente la productivité et les productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques, les revenus tirés des chaînes de valeur », a fait savoir Harouna Doumbia, le responsable du suivi évaluation et de la communication du projet.
Ce dernier souligne que le P2-P2RS compte « renforcer les capacités adaptatives des populations par une meilleure maîtrise des risques climatiques et contribuer à l'atténuation au changement climatique ».
Sur la base des critères de vulnérabilité, des besoins de consolidation et d'élargissement des acquis de la phase 1, de prise en compte des aspects environnementaux et de concentration des interventions, renseigne que,15 communes situées dans cinq départements et trois régions ( Matam, Tambacounda et Fatick) ont été identifiées. Il s'agit de deux pôles de développement au nord et au centre-ouest du pays. Le premier pôle concerne quatre communes du département de Matam (Agnan Civol, Dabia, Bokidiawé et Nguidjilone), quatre communes du département de Kanel (Aouré, Orkadiére, Sinthiou Bamambé et Ndendori) et les quatre communes du département de Bakel (Belle, Sinthiou Fissa , Gabou et Gathiary). Le deuxième pôle est situé dans trois communes de la région de Fatick (Fimela, Bassoul et Ndjirnda).
Dans le cadre du projet d'un coût de près de 20 milliards 400 millions, 8 milliards seront déployés en termes d'investissements pour la région de Matam, autour d'activités spécifiquement dédiées aux jeunes, parmi lesquelles figurent une soixantaine de fermes agricoles, des unités de transformation, des fermes polycoles et avicoles ainsi que des bergeries (races améliorées)/
Selon le responsable du suivi évaluation et de la communication, « ce projet de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire » , passe implicitement par « un renforcement des moyens de l'environnement, à savoir la gestion des ressources naturelles, la gestion des terres dégradées réalisation, mais aussi d'infrastructures de mobilisation des eaux ». Des actions pour « renforcer les moyens d'existence des ménages et les rendre plus résilients ».
S'adossant au « principe qu'une solution durable à l'insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel nécessite le développement de la résilience au changement climatique, le financement à long terme du secteur agricole et le développement du commerce et l'intégration régionale », la phase 2 du projet entend « contribuer à l'amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et des conditions de vie des populations du Sahel ».
Au Sénégal, la phase 1, qui a été mise en œuvre de 2015 à 2020, a permis de « renforcer les moyens d'existence de plus de 60 000 ménages à travers des actions de soutien direct aux plus vulnérables (…) ».
La deuxième phase qui vient d'être lancée ambitionne « d'augmenter sur une base durable et résiliente la productivité et les productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques, les revenus tirés des chaînes de valeur », a fait savoir Harouna Doumbia, le responsable du suivi évaluation et de la communication du projet.
Ce dernier souligne que le P2-P2RS compte « renforcer les capacités adaptatives des populations par une meilleure maîtrise des risques climatiques et contribuer à l'atténuation au changement climatique ».
Sur la base des critères de vulnérabilité, des besoins de consolidation et d'élargissement des acquis de la phase 1, de prise en compte des aspects environnementaux et de concentration des interventions, renseigne que,15 communes situées dans cinq départements et trois régions ( Matam, Tambacounda et Fatick) ont été identifiées. Il s'agit de deux pôles de développement au nord et au centre-ouest du pays. Le premier pôle concerne quatre communes du département de Matam (Agnan Civol, Dabia, Bokidiawé et Nguidjilone), quatre communes du département de Kanel (Aouré, Orkadiére, Sinthiou Bamambé et Ndendori) et les quatre communes du département de Bakel (Belle, Sinthiou Fissa , Gabou et Gathiary). Le deuxième pôle est situé dans trois communes de la région de Fatick (Fimela, Bassoul et Ndjirnda).
Dans le cadre du projet d'un coût de près de 20 milliards 400 millions, 8 milliards seront déployés en termes d'investissements pour la région de Matam, autour d'activités spécifiquement dédiées aux jeunes, parmi lesquelles figurent une soixantaine de fermes agricoles, des unités de transformation, des fermes polycoles et avicoles ainsi que des bergeries (races améliorées)/
Selon le responsable du suivi évaluation et de la communication, « ce projet de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaire » , passe implicitement par « un renforcement des moyens de l'environnement, à savoir la gestion des ressources naturelles, la gestion des terres dégradées réalisation, mais aussi d'infrastructures de mobilisation des eaux ». Des actions pour « renforcer les moyens d'existence des ménages et les rendre plus résilients ».
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