Le 28 novembre dernier, une réunion de facilitation avait été organisée pour trouver un accord avec les auteurs des plaintes. En vain. Le dossier de l’indemnisation des victimes de l’autoroute à péage a fini par atterrir à la Banque africaine de développement.
Mais avant que la procédure ne prenne une voie officielle, Per Eldar Sovik, directeur de l’Unité de vérification de la conformité, a pris le soin de vérifier si réellement les victimes avaient contacté la Direction de la Banque ou le Bureau extérieur de la Banque au Sénégal. Une étape prescrite dans le règlement de l’indemnisation des victimes.
Le Conseil d’administration du groupe de la Banque africaine de développement a accordé en juillet 2009, sur ses ressources du Fonds africain de développement pour le secteur public, un prêt d’un montant de 45 millions d’unités de compte en vue de financer le projet de construction de l’autoroute Dakar – Diamniadio, le développement de la zone et d’autres composantes.
Le patron du Crmu a fini par s’interroger sur les dysfonctionnements notés dans l’indemnisation des personnes affectées. C’est ainsi que l’Unité de vérification de la conformité et de la médiation (Crmu) a instruit deux plaintes contre l’Agence nationale de promotion de l’investissement des grands travaux (Apix).
La première requête a été introduite par l’Imam Moussa Mbaye, qui se plaint de l’impact négatif direct sur l’Ecole Franco-arabe située à Mousdalifa et dont il est le propriétaire. Dans la plainte transmise à Per Eldar Sovik, l’Imam sollicite une indemnisation à la hauteur de ses investissements dans l’Ecole Franco-arabe.
La deuxième requête est signée par Mohamed Aïdara, président du collectif des locataires affectés par le projet de l’autoroute à péage. Dans le document confié à l’Unité de vérification de la conformité et de la médiation, il se plaint de la difficulté rencontrée par les locataires évacués pour retrouver des logements à leur portée, compte tenu des prix élevés et de la forte demande.
Le directeur de la Crmu précise dans son document que sur la base de l’analyse préliminaire et conformément à la demande des plaignants, il a décidé d’enregistrer « les deux plaintes en une seule et même requête et de la traiter par une action de résolution du problème ».
Mais avant que la procédure ne prenne une voie officielle, Per Eldar Sovik, directeur de l’Unité de vérification de la conformité, a pris le soin de vérifier si réellement les victimes avaient contacté la Direction de la Banque ou le Bureau extérieur de la Banque au Sénégal. Une étape prescrite dans le règlement de l’indemnisation des victimes.
Le Conseil d’administration du groupe de la Banque africaine de développement a accordé en juillet 2009, sur ses ressources du Fonds africain de développement pour le secteur public, un prêt d’un montant de 45 millions d’unités de compte en vue de financer le projet de construction de l’autoroute Dakar – Diamniadio, le développement de la zone et d’autres composantes.
Le patron du Crmu a fini par s’interroger sur les dysfonctionnements notés dans l’indemnisation des personnes affectées. C’est ainsi que l’Unité de vérification de la conformité et de la médiation (Crmu) a instruit deux plaintes contre l’Agence nationale de promotion de l’investissement des grands travaux (Apix).
La première requête a été introduite par l’Imam Moussa Mbaye, qui se plaint de l’impact négatif direct sur l’Ecole Franco-arabe située à Mousdalifa et dont il est le propriétaire. Dans la plainte transmise à Per Eldar Sovik, l’Imam sollicite une indemnisation à la hauteur de ses investissements dans l’Ecole Franco-arabe.
La deuxième requête est signée par Mohamed Aïdara, président du collectif des locataires affectés par le projet de l’autoroute à péage. Dans le document confié à l’Unité de vérification de la conformité et de la médiation, il se plaint de la difficulté rencontrée par les locataires évacués pour retrouver des logements à leur portée, compte tenu des prix élevés et de la forte demande.
Le directeur de la Crmu précise dans son document que sur la base de l’analyse préliminaire et conformément à la demande des plaignants, il a décidé d’enregistrer « les deux plaintes en une seule et même requête et de la traiter par une action de résolution du problème ».
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