C’était à l’occasion d’une rencontre avec la presse, au terme du séminaire organisé durant le week-end par les cadres libéraux, M. Keita affirme que la construction d’une grande démocratie nécessite d’unir ceux qui partagent la même « idéologie » afin de pouvoir constituer un grand parti.
« Mais cette perspective rejette toute forme de retrouvailles directes ou indirectes avec Macky Sall (président de la République et leader de l’APR, au pouvoir). Et aucune de nos instances n’est prête à (se retrouver avec lui) », a-t-il toutefois précisé, selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
« Nous avons réfléchi sur une nouvelle offre qui sera partagée par toutes les couches. Nous voulons un Parti démocratique sénégalais (Pds, opposition) nouveau après le départ des uns et des autres à travers des statuts, règlements, des hommes, par des alliances nationales et internationales, une nouvelle stratégie de communication », a poursuivi Mamadou Lamine Keita, président du Comité scientifique du séminaire organisé par la Fédération nationale des cadres libéraux (FNCL).
Selon lui, « aucun aspect n’a été négligé au cours de ce séminaire, car l’urgence aujourd’hui est de faire face au nouveau régime de Macky Sall avec sa politique qu’il qualifie de sobre. Mais aussi de montrer surtout aux Sénégalais que le PDS a perdu les élections, mais n’a pas disparu ».
« Nous allons rapprocher toutes les positions dans la cohésion pour faire face à ce régime. Et envisageons de décentraliser toutes nos activités et de faire des tournées à l’intérieur du pays afin d’aller vers les militants de la base », a-t-il ajouté.
Au-delà du thème général « Quel PDS dans un environnement politique en mutation ? », les cadres libéraux ont aussi planché sur six autres sous-thèmes. L’adoption du rapport définitif est prévue ultérieurement.
Avec l’APS
« Mais cette perspective rejette toute forme de retrouvailles directes ou indirectes avec Macky Sall (président de la République et leader de l’APR, au pouvoir). Et aucune de nos instances n’est prête à (se retrouver avec lui) », a-t-il toutefois précisé, selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
« Nous avons réfléchi sur une nouvelle offre qui sera partagée par toutes les couches. Nous voulons un Parti démocratique sénégalais (Pds, opposition) nouveau après le départ des uns et des autres à travers des statuts, règlements, des hommes, par des alliances nationales et internationales, une nouvelle stratégie de communication », a poursuivi Mamadou Lamine Keita, président du Comité scientifique du séminaire organisé par la Fédération nationale des cadres libéraux (FNCL).
Selon lui, « aucun aspect n’a été négligé au cours de ce séminaire, car l’urgence aujourd’hui est de faire face au nouveau régime de Macky Sall avec sa politique qu’il qualifie de sobre. Mais aussi de montrer surtout aux Sénégalais que le PDS a perdu les élections, mais n’a pas disparu ».
« Nous allons rapprocher toutes les positions dans la cohésion pour faire face à ce régime. Et envisageons de décentraliser toutes nos activités et de faire des tournées à l’intérieur du pays afin d’aller vers les militants de la base », a-t-il ajouté.
Au-delà du thème général « Quel PDS dans un environnement politique en mutation ? », les cadres libéraux ont aussi planché sur six autres sous-thèmes. L’adoption du rapport définitif est prévue ultérieurement.
Avec l’APS
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