Les professionnels du secteur de l’enseignement supérieur privé ont mis en place la Fédération des Etablissements Privés d’Enseignement Supérieur du Sénégal (FEPES) dirigé par Mamadou Diop, Président Directeur général de l’Institut Supérieur d’Enseignement et de Gestion (ISEG).
Vu la qualité de ses prestations, en matière de formation du capital humain, les professionnels du secteur de l’enseignement supérieur privé comptent unir leur forces pour jouer un rôle de locomotive dans la dynamique évolutive et changeante de l’environnement économique mondial. En Assemblée générale, ce samedi, Mamadou Diop et Cie ont décidé de fédérer leurs membres et de construire des passerelles avec des partenaires nationaux et internationaux.
«Moi personnellement, je vais m’investir. Même si je n’ai pas beaucoup de temps, j’ai accepté la présidence parce que j’ai l’expérience dans l’enseignement supérieur...Parce que j’ai des idées que je veux mettre au service des autres membres. On a également plus de 30 ans d’expérience, on a des relations. On a un réseau national et international... L’enseignement Supérieur aujourd’hui par rapport au contexte, est de très haute portée. Et les futurs grands patrons de demain, ça ne sera plus au niveau du CNP (Conseil National du Patronat) mais nous serons les vrais patrons si nous y croyons», déclare Mamadou Diop
Le président de la FEPES d'indiquer: « Depuis 2013, on a le plus grand nombre d’étudiants. Pourquoi ? Parce qu'on a le plus grand nombre de licences qui sont accréditées. Pour nous, l’enseignement supérieur, c’est le partenariat avec l’Etat. Ce sont les nouveaux bacheliers que l’Etat nous envoie. Ce qui permet de consolider nos structures et d’investir. Mais aussi, nous sommes allés créer un campus au niveau de l’université pour 500 millions de F CFA. Donc maintenant ISEG ne partira plus seul, mais c’est la FEPES maintenant».
Forts de ce fait, Mamadou Diop et Cie entendent promouvoir la pédagogie de l’excellence individuelle et collective, cultiver le développement l’entraide et la solidarité entre eux.
Vu la qualité de ses prestations, en matière de formation du capital humain, les professionnels du secteur de l’enseignement supérieur privé comptent unir leur forces pour jouer un rôle de locomotive dans la dynamique évolutive et changeante de l’environnement économique mondial. En Assemblée générale, ce samedi, Mamadou Diop et Cie ont décidé de fédérer leurs membres et de construire des passerelles avec des partenaires nationaux et internationaux.
«Moi personnellement, je vais m’investir. Même si je n’ai pas beaucoup de temps, j’ai accepté la présidence parce que j’ai l’expérience dans l’enseignement supérieur...Parce que j’ai des idées que je veux mettre au service des autres membres. On a également plus de 30 ans d’expérience, on a des relations. On a un réseau national et international... L’enseignement Supérieur aujourd’hui par rapport au contexte, est de très haute portée. Et les futurs grands patrons de demain, ça ne sera plus au niveau du CNP (Conseil National du Patronat) mais nous serons les vrais patrons si nous y croyons», déclare Mamadou Diop
Le président de la FEPES d'indiquer: « Depuis 2013, on a le plus grand nombre d’étudiants. Pourquoi ? Parce qu'on a le plus grand nombre de licences qui sont accréditées. Pour nous, l’enseignement supérieur, c’est le partenariat avec l’Etat. Ce sont les nouveaux bacheliers que l’Etat nous envoie. Ce qui permet de consolider nos structures et d’investir. Mais aussi, nous sommes allés créer un campus au niveau de l’université pour 500 millions de F CFA. Donc maintenant ISEG ne partira plus seul, mais c’est la FEPES maintenant».
Forts de ce fait, Mamadou Diop et Cie entendent promouvoir la pédagogie de l’excellence individuelle et collective, cultiver le développement l’entraide et la solidarité entre eux.
Autres articles
-
Sénégal : suspension des exportations de graines d’arachide pour la campagne 2024-2025
-
Immigration irrégulière : la pirogue partie de Bassoul retrouvée aux îles Canaries
-
COP29 : Enda énergie entame un travail de ‘’collecte et d’élaboration scientifique’’ pour les grands enjeux climatiques
-
Les syndicats du G7 s'opposent à la gestion des LYNAQE par des militaires à la retraite
-
Dakar accueille une consultation continentale d’experts sur la xénophobie et les droits des migrants