La question vaut le détour. Me Abdoulaye Wade garde toujours son mal en patience, malgré la relation affective le liant à son fils. Depuis trente-cinq (35) jours qu’il se trouve à Dakar, après sa remarquable descente dans la capitale le vendredi 25 avril dernier avec la déferlante populaire, l’ex-président de la République a eu le temps de rendre visite à plusieurs familles maraboutiques, au chef de l’Eglise catholique le Cardinal Théodore Adrien Sarr, à Me Ousmane Ngom pour lui présenter ses condoléances, Aïda Ndiongue au camp pénal de Liberté 6. Mais n’est toujours pas allé voir son fils Karim Wade, dans les liens de la prévention depuis le 17 avril 2013 dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis.
Un malaise ou calcul ? Cette visite rendue à Aïda Ndiongue a été interprétée comme une façon de baliser le chemin avant celle prévue avec Karim Wade. Certains interlocuteurs au niveau du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) pensent que Me Wade a une stratégie qui n’intègre pas la visite à Karim Wade. Une source judiciaire indique pourtant que Wade peut être gêné par la procédure administratives qu’on exige de lui avant tout visite. « Cela le rabaisserait ». Un argument qui ne résiste pas dans le cas où Wade s’est déjà soumis aux exigences de l’administration pénitentiaire dans le cas Aïda Ndiongue.
Certains ne manquent pas d’y voir le signe d’un malaise entre le père et le fils. Ils pointent le fait que le Président Wade a fait le tour du continent pour un lobbying en faveur de son fils. Mais une fois à Dakar il ne s’empresse pas de lui parler. A ton mis à sa disposition des informations pouvant incriminer son fils ? En veut-il à son fils Karim Wade ? Luxembourg et Singapour ont-elles révélé plus de secrets que prévus ? Autant de questions que se posent certains interlocuteurs.
Mais balayées d’un revers de main par un proche de Wade qui, dans les colonnes du journal « Enquête », indique que « Me Wade n’a peut-être pas besoin de le voir. Peut-être qu’ils se parlent tous les soirs par un canal qu’ils maîtrisent tous les deux ».
Un malaise ou calcul ? Cette visite rendue à Aïda Ndiongue a été interprétée comme une façon de baliser le chemin avant celle prévue avec Karim Wade. Certains interlocuteurs au niveau du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) pensent que Me Wade a une stratégie qui n’intègre pas la visite à Karim Wade. Une source judiciaire indique pourtant que Wade peut être gêné par la procédure administratives qu’on exige de lui avant tout visite. « Cela le rabaisserait ». Un argument qui ne résiste pas dans le cas où Wade s’est déjà soumis aux exigences de l’administration pénitentiaire dans le cas Aïda Ndiongue.
Certains ne manquent pas d’y voir le signe d’un malaise entre le père et le fils. Ils pointent le fait que le Président Wade a fait le tour du continent pour un lobbying en faveur de son fils. Mais une fois à Dakar il ne s’empresse pas de lui parler. A ton mis à sa disposition des informations pouvant incriminer son fils ? En veut-il à son fils Karim Wade ? Luxembourg et Singapour ont-elles révélé plus de secrets que prévus ? Autant de questions que se posent certains interlocuteurs.
Mais balayées d’un revers de main par un proche de Wade qui, dans les colonnes du journal « Enquête », indique que « Me Wade n’a peut-être pas besoin de le voir. Peut-être qu’ils se parlent tous les soirs par un canal qu’ils maîtrisent tous les deux ».
Autres articles
-
Campagne de distribution de médicaments contre les MTN : And Gueusseum appelle à l'engagement de ses membres
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"