Les images en question réalisées apparemment pendant le jour de Noël montrent une quinzaine de filles vêtues de robes noires.
C'est la première fois depuis leur enlèvement que les parents des jeunes filles ont la preuve de vie de ces dernières.
Le nouveau sénateur de Chibok, Shehu Sani, a déclaré à la BBC que les pourparlers avec Boko Haram avaient été menés dans le secret afin d'obtenir la libération des otages.
M. Sani, qui a insisté sur le fait que l'administration du président Muhammadu Buhari envisageait une opération d'envergure a également déclaré qu'une solution militaire ne règlera pas le problème.
Selon l'AFP, des membres de Boko Haram auraient pris contact mi-janvier avec le gouvernement, réclamant des discussions sur un possible échange de prisonniers.
Exigeant une «preuve de vie», les autorités auraient d'abord reçu cinq photos de certaines des otages, puis cette vidéo.
Après avoir rejeté toutes possibilités d'échange avec les ravisseurs, le gouvernement nigérian a été vivement critiqué par les initiateurs de la campagne « Bring Back Our Girls » estimant qu'il était incapable de protéger la population.
Les parents des 219 jeunes filles encore retenues par le groupe islamiste doivent tenir une réunion de prière devant l'école de Chibok d'où leurs enfants ont été enlevés.
C'est la première fois depuis leur enlèvement que les parents des jeunes filles ont la preuve de vie de ces dernières.
Le nouveau sénateur de Chibok, Shehu Sani, a déclaré à la BBC que les pourparlers avec Boko Haram avaient été menés dans le secret afin d'obtenir la libération des otages.
M. Sani, qui a insisté sur le fait que l'administration du président Muhammadu Buhari envisageait une opération d'envergure a également déclaré qu'une solution militaire ne règlera pas le problème.
Selon l'AFP, des membres de Boko Haram auraient pris contact mi-janvier avec le gouvernement, réclamant des discussions sur un possible échange de prisonniers.
Exigeant une «preuve de vie», les autorités auraient d'abord reçu cinq photos de certaines des otages, puis cette vidéo.
Après avoir rejeté toutes possibilités d'échange avec les ravisseurs, le gouvernement nigérian a été vivement critiqué par les initiateurs de la campagne « Bring Back Our Girls » estimant qu'il était incapable de protéger la population.
Les parents des 219 jeunes filles encore retenues par le groupe islamiste doivent tenir une réunion de prière devant l'école de Chibok d'où leurs enfants ont été enlevés.
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