Le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies de l’information et de la communication (RESTIC) plaide pour un "déploiement de la 5G avec des obligations en faveur de l’aménagement numérique du territoire."
Dans un communiqué, le secrétaire général de Restic, Moustapha Diakhaté considère que le 5G est un vecteur voire un " facilitateur " de " la numérisation de la société, en autorisant le développement de nouveaux usages : réalité virtuelle, véhicule autonome et connecté, ville intelligente (contrôle du trafic routier, optimisation énergétique), industrie du futur (pilotage à distance des outils industriels, connectivité des machines)... la 5G avec la floraison d’application va propulser le secteur des TIC à plus de 15% du PIB annuel du pays avec des milliers d’emplois à la clé".
L'organisation fait savoir dans sa note que le chantier de déploiement de la 5G va permettre de donner "des emplois à 6 000 personnes et va générer 650 milliards de chiffres d’affaires pour les installateurs techniques sur 3 ans. La 5G nécessite de nouvelles installations donc intensives en travail physique, en capital et en technologie".
Le RESTIC souhaite que alors que "les opérateurs soient soumis à d'importantes obligations de couverture des territoires ruraux, moins peuplés et bien moins rentables que les villes afin de permettre aux startups dans l’agro-écologie, l’élevage, la foresterie de se développer dans nos communautés rurales, nos villes intérieures et nos villages etc."
L'association invite donc "les opérateurs à saisir cette opportunité historique que la 5G devrait offrir aux usagers et consommateurs et l’ARTP à mettre à leur disposition toutes les bonnes fréquences aux meilleurs prix dans un processus équitable et transparent."
Dans un communiqué, le secrétaire général de Restic, Moustapha Diakhaté considère que le 5G est un vecteur voire un " facilitateur " de " la numérisation de la société, en autorisant le développement de nouveaux usages : réalité virtuelle, véhicule autonome et connecté, ville intelligente (contrôle du trafic routier, optimisation énergétique), industrie du futur (pilotage à distance des outils industriels, connectivité des machines)... la 5G avec la floraison d’application va propulser le secteur des TIC à plus de 15% du PIB annuel du pays avec des milliers d’emplois à la clé".
L'organisation fait savoir dans sa note que le chantier de déploiement de la 5G va permettre de donner "des emplois à 6 000 personnes et va générer 650 milliards de chiffres d’affaires pour les installateurs techniques sur 3 ans. La 5G nécessite de nouvelles installations donc intensives en travail physique, en capital et en technologie".
Le RESTIC souhaite que alors que "les opérateurs soient soumis à d'importantes obligations de couverture des territoires ruraux, moins peuplés et bien moins rentables que les villes afin de permettre aux startups dans l’agro-écologie, l’élevage, la foresterie de se développer dans nos communautés rurales, nos villes intérieures et nos villages etc."
L'association invite donc "les opérateurs à saisir cette opportunité historique que la 5G devrait offrir aux usagers et consommateurs et l’ARTP à mettre à leur disposition toutes les bonnes fréquences aux meilleurs prix dans un processus équitable et transparent."
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