
Le Syndicat Professionnel des Industries du Sénégal (SPIS) a exprimé sa profonde préoccupation concernant la crise ouverte sur la farine et ses enjeux sur le tissu économique national. Face à cette situation, le SPIS, estime que l’ouverture entre l’État et l’Association des Meuniers Industriels du Sénégal est essentielle pour élaborer des solutions durables et adaptées aux besoins de notre société.
À ce titre, le SPIS invite officiellement les représentants de l’État à participer à une série de discussions avec l’AMIS.
Afin de favoriser un échange fructueux sur les sujets suivants:
1. La reprise de l’activité de production de farine ce jour, Mardi 25 juin 2024 pour parer à tout risque d’escalade et d’aggravation dans la crise actuelle.
2. L’ouverture concomitante de rencontres sur l’évaluation des dispositifs actuels et proposition de nouvelles mesures pour soutenir les entreprises et la filière face aux défis économiques.
3. L’analyse de l’impact des régulations actuelles et exploration de pistes de promotion du dialogue constructif dans ces situations.
4. L’identification des moyens pour encourager les initiatives et améliorer la compétitivité des entreprises de la filière farine.
Selon le communiqué du SPIS, « seule une collaboration étroite entre les pouvoirs publics et le secteur privé permettra de surmonter les défis actuels et de préparer un avenir serein et prospère pour notre pays », lit-on sur le document.
Toutefois, « le CNP se tient à la disposition des représentants de l’État pour organiser ces rencontres et fournir toutes les informations nécessaires à la bonne conduite de ce dialogue. Nous sommes convaincus que, par un effort collectif et concerté, nous pourrons apporter des solutions concrètes et efficaces au bénéfice de tous », a conclu le communiqué.
À ce titre, le SPIS invite officiellement les représentants de l’État à participer à une série de discussions avec l’AMIS.
Afin de favoriser un échange fructueux sur les sujets suivants:
1. La reprise de l’activité de production de farine ce jour, Mardi 25 juin 2024 pour parer à tout risque d’escalade et d’aggravation dans la crise actuelle.
2. L’ouverture concomitante de rencontres sur l’évaluation des dispositifs actuels et proposition de nouvelles mesures pour soutenir les entreprises et la filière face aux défis économiques.
3. L’analyse de l’impact des régulations actuelles et exploration de pistes de promotion du dialogue constructif dans ces situations.
4. L’identification des moyens pour encourager les initiatives et améliorer la compétitivité des entreprises de la filière farine.
Selon le communiqué du SPIS, « seule une collaboration étroite entre les pouvoirs publics et le secteur privé permettra de surmonter les défis actuels et de préparer un avenir serein et prospère pour notre pays », lit-on sur le document.
Toutefois, « le CNP se tient à la disposition des représentants de l’État pour organiser ces rencontres et fournir toutes les informations nécessaires à la bonne conduite de ce dialogue. Nous sommes convaincus que, par un effort collectif et concerté, nous pourrons apporter des solutions concrètes et efficaces au bénéfice de tous », a conclu le communiqué.
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