Dans son communiqué en date de ce mercredi, Yoonu Askan Wi expose les difficultés de ces agents. « Le Syndicat National des Convoyeurs de Fonds et Agents de sécurité (SYNACOFAS), né de la lutte contre le licenciement de 15 délégués du personnel en 2007, fait l’objet depuis lors d’ostracisme, de menaces et d’agressions diverses. Il est exclu du droit de participer aux élections des délégués du personnel et de représenter les travailleurs du secteur de la sécurité ».
« Ces agents de sécurité, presque tous d’anciens militaires bien formés, sont plus d’une dizaine de milliers et subissent des agressions à leur dignité, exactions et brimades de toutes sortes : salaires de misère en dessous du SMIG (40000F), contrats irréguliers, licenciements abusifs, celui notamment du Secrétaire Général du SYNACOFAS, retards constants de paiement des salaires pour la plupart, non versement de cotisations IPRES et CSS, absence de couverture maladie, déni de leurs libertés et droits syndicaux, manque de respect et de considération ».
Aux côtés des travailleurs du secteur de la sécurité, le Secrétariat Permanent de Yoonu Askan Wi exige: « la mise en place d’une Convention Collective, conformément à l’article L85 du Code du Travail, la participation du SYNACOFAS aux élections des délégués du personnel, le respect des droits des travailleurs et des décisions de justice, dans un Etat de droit qui se respecte et qui respecte les travailleurs ».
« Ces agents de sécurité, presque tous d’anciens militaires bien formés, sont plus d’une dizaine de milliers et subissent des agressions à leur dignité, exactions et brimades de toutes sortes : salaires de misère en dessous du SMIG (40000F), contrats irréguliers, licenciements abusifs, celui notamment du Secrétaire Général du SYNACOFAS, retards constants de paiement des salaires pour la plupart, non versement de cotisations IPRES et CSS, absence de couverture maladie, déni de leurs libertés et droits syndicaux, manque de respect et de considération ».
Aux côtés des travailleurs du secteur de la sécurité, le Secrétariat Permanent de Yoonu Askan Wi exige: « la mise en place d’une Convention Collective, conformément à l’article L85 du Code du Travail, la participation du SYNACOFAS aux élections des délégués du personnel, le respect des droits des travailleurs et des décisions de justice, dans un Etat de droit qui se respecte et qui respecte les travailleurs ».
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