Les techniciens de santé ont partagé avec les leaders d’opinions et les mouvements associatifs de Sédhiou sur les données relatives à la santé dans la région. Les diagnostiques dévoilent un ensemble de facteur comme des contraintes majeurs à l’amélioration des indicateurs en matière de santé de la reproduction.
Oumy Thiam, sage femme au centre de Santé de Sédhiou à souligné que : « la pauvreté qu’on trouve dans la région de Sédhiou c’est la non participation des maris lors des concertations prénatales, et surtout les problèmes d’infrastructure et de personnel… ». Une situation qui influe directement sur le taux d’accouchement assisté jugé très faible. 58% seulement des femmes en travail, ont le privilège de bénéficier de l’assistance des techniciens de santés. « Le taux d’accouchement au niveau de la région de Sédhiou est très faible. Parce qu’on est à 58%. Cela s’explique par de nombreux cas d’accouchement dans les maisons et surtout l’insuffisance du personnel qu’on trouve dans la région ».
Pour améliorer ses indicateurs, l’option des indicateurs est de renforcer la sensibilisation dans l’optique de bénéficier d’une plus forte couche de la société dans le domaine de la santé de reproduction. Les participants ont tout de même relevé des impaires dans les services d’accueil pour patients au niveau des hôpitaux, à l’origine du faible taux des consultations prénatales, informe la Rfm.
Oumy Thiam, sage femme au centre de Santé de Sédhiou à souligné que : « la pauvreté qu’on trouve dans la région de Sédhiou c’est la non participation des maris lors des concertations prénatales, et surtout les problèmes d’infrastructure et de personnel… ». Une situation qui influe directement sur le taux d’accouchement assisté jugé très faible. 58% seulement des femmes en travail, ont le privilège de bénéficier de l’assistance des techniciens de santés. « Le taux d’accouchement au niveau de la région de Sédhiou est très faible. Parce qu’on est à 58%. Cela s’explique par de nombreux cas d’accouchement dans les maisons et surtout l’insuffisance du personnel qu’on trouve dans la région ».
Pour améliorer ses indicateurs, l’option des indicateurs est de renforcer la sensibilisation dans l’optique de bénéficier d’une plus forte couche de la société dans le domaine de la santé de reproduction. Les participants ont tout de même relevé des impaires dans les services d’accueil pour patients au niveau des hôpitaux, à l’origine du faible taux des consultations prénatales, informe la Rfm.
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