Avec la transmission d’un rapport interne aux actionnaires de la SUNEOR sur les pertes et dettes de la société nommée, le gouvernement doit impérativement se remuer s’il veut sauver les sociétés comme celle spécialisée dans l’huilerie qui est au bord du dépôt de bilan, comme le soulignent nos confrères de « L’observateur » dans leur parution du jour. Par rapport donc aux pertes de 46 milliards de FCFA, de dettes de 50 milliards de FCFA et de 20.000 tonnes d’huile bloquées, l’Etat doit réviser le décret de 2010 de Me Wade sur la libéralisation de l’exportation de la graine de l’arachide, source des maux dont souffre la SUNEOR.
Par ailleurs, sur ces irrégularités qui effritent la croyance des industriels quant à l’essor du secteur secondaire, les pesanteurs fiscales et les produits frauduleux qui inondent le marché sont décriés par les acteurs du secteur. A l’occasion d’une visite de prise de contact aux Nouvelles Minoteries Africaines (NMA) et à la Société Industrielle de Papeterie au Sénégal (SIPS) effectuée par le ministre de l’Industrie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye, les investisseurs privés qui ont signifié à leur tutelle que l’industrie se trouve à la traîne, ont sommé l’Etat de faire de l’industrie une de ses priorités.
Après avoir fait part au ministre de leurs difficultés, notamment au niveau fiscal et du financement qui empêchent l’industrie de décoller, les acteurs du secteur industriel ont regretté la rareté de choses concrètes qui sortent des « longues journées de réflexion au Méridien ». Toutefois, face aux multitudes de plaintes, Aly Ngouille Ndiaye, dans les colonnes du « Populaire » a fait part de la disposition du gouvernement à accompagner le secteur. Des mesures collégiales en concertation avec les autres ministères concernés pour un meilleur contrôle des frontières et des produits qui doivent entrer dans le territoire sont également promises par le ministre de l’Industrie et des Mines.
Par ailleurs, sur ces irrégularités qui effritent la croyance des industriels quant à l’essor du secteur secondaire, les pesanteurs fiscales et les produits frauduleux qui inondent le marché sont décriés par les acteurs du secteur. A l’occasion d’une visite de prise de contact aux Nouvelles Minoteries Africaines (NMA) et à la Société Industrielle de Papeterie au Sénégal (SIPS) effectuée par le ministre de l’Industrie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye, les investisseurs privés qui ont signifié à leur tutelle que l’industrie se trouve à la traîne, ont sommé l’Etat de faire de l’industrie une de ses priorités.
Après avoir fait part au ministre de leurs difficultés, notamment au niveau fiscal et du financement qui empêchent l’industrie de décoller, les acteurs du secteur industriel ont regretté la rareté de choses concrètes qui sortent des « longues journées de réflexion au Méridien ». Toutefois, face aux multitudes de plaintes, Aly Ngouille Ndiaye, dans les colonnes du « Populaire » a fait part de la disposition du gouvernement à accompagner le secteur. Des mesures collégiales en concertation avec les autres ministères concernés pour un meilleur contrôle des frontières et des produits qui doivent entrer dans le territoire sont également promises par le ministre de l’Industrie et des Mines.
Autres articles
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)
-
Déficit budgétaire du Sénégal : les stratégies du gouvernement pour remonter la pente, selon Abdourahmane Sarr
-
Croissance du secteur bancaire et de la microfinance : une progression de 8,8% saluée par le ministère des Finances
-
Pêche illicite au Sénégal : une perte estimée à 150 milliards FCfa chaque année