Il s’exprimait sur les ondes de la radio privée Rfm. « Je demande qu’on m’accorde du temps, mon mandat ou au moins la moitié de mon (premier) mandat » pour que le peuple puisse commencer à consater les signaux positifs du programme de société de l’Apr.
Mais bien avant la demande de cet état de grâce, le Président de la République a promis que dès les semaines prochaines, les citoyens constateront des actes concrets de son effort dans le domaine de la baisse des prix des denrées de première nécessité. C’était à l’occasion de la prière du vendredi du chef de l’Etat chez les « Layennes ».
Sur la même radio, la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS), par la voix de son président, a donné 100 jours d’état de grâce au nouveau Président de la République pour faire face aux problèmes de la société sénégalaise. Si rien n’est fait au cas échéant, le CNTS « se donnera tout le droit d’aller en grève » pour l’amélioration des conditions de vie du peuple.
En plus de ces 100 jours, la CNTS demande également la diminution des impôts sur les salaires. Ces impôts sur les salaires sont de « 105 milliards Fcfa » et le CNTS voulait qu’on les ramène à 25 milliards Fcfa.
Pour l’heure, ce sont les élèves et lycéens qui réclament une année blanche. Ils vont jusqu’à s’attaquer à d’autres écoles privées pour les empêcher de faire cours. Le ministère de l’Education nationale, en la personne d’Ibrahima Sall, est en train de multiplier les négociations pour l’obtention d’une solution acceptable à par tous. Mais le seul problème reste le cas des élèves et lycéens qui ne veulent plus aller en classe. Il ne faut surtout pas oublier, la situation des bacheliers non orientés qui empêchent les autres étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad) de Dakar de faire correctement les cours.
Mais bien avant la demande de cet état de grâce, le Président de la République a promis que dès les semaines prochaines, les citoyens constateront des actes concrets de son effort dans le domaine de la baisse des prix des denrées de première nécessité. C’était à l’occasion de la prière du vendredi du chef de l’Etat chez les « Layennes ».
Sur la même radio, la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS), par la voix de son président, a donné 100 jours d’état de grâce au nouveau Président de la République pour faire face aux problèmes de la société sénégalaise. Si rien n’est fait au cas échéant, le CNTS « se donnera tout le droit d’aller en grève » pour l’amélioration des conditions de vie du peuple.
En plus de ces 100 jours, la CNTS demande également la diminution des impôts sur les salaires. Ces impôts sur les salaires sont de « 105 milliards Fcfa » et le CNTS voulait qu’on les ramène à 25 milliards Fcfa.
Pour l’heure, ce sont les élèves et lycéens qui réclament une année blanche. Ils vont jusqu’à s’attaquer à d’autres écoles privées pour les empêcher de faire cours. Le ministère de l’Education nationale, en la personne d’Ibrahima Sall, est en train de multiplier les négociations pour l’obtention d’une solution acceptable à par tous. Mais le seul problème reste le cas des élèves et lycéens qui ne veulent plus aller en classe. Il ne faut surtout pas oublier, la situation des bacheliers non orientés qui empêchent les autres étudiants de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad) de Dakar de faire correctement les cours.
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