Placés sous mandat de dépôt, 14 chauffeurs de taxi de Saint-Louis sont dans de beaux draps. En effet, après l’arrestation de Ousseynou Diop du nom du chauffeur de taxi urbain qui a emprunté la passerelle piétonne de Cambérène (Dakar), la semaine dernière, d’autres de ses camarades ont eu maille à partir avec dame justice.
Il s’agit des quatorze taximen de la capitale du Nord qui, fustigeant de payer les taxes de droits de stationnement, sont montés au créneau pour barrer la circulation à l’entrée du pont Faidherbe. Le président du regroupement des chauffeurs de taxi, Dame Diagne, et 13 autres manifestants interpellés à la suite des incidents du mardi devant le commissariat central de Sor, ont été finalement placés sous mandat de dépôt par le procureur de la République, pour troubles à l’ordre public.
Ces chauffeurs ont refusé de s’acquitter du paiement des taxes de droits de stationnement qui s’élèvent à 4000 F C FA arguant que depuis la mise en circulation des bus Tata sur certaines lignes comme Rue de Paris, Léona et autres axes situés à l’intérieur des quartiers, leurs revenus journaliers ont connu une baisse dramatique. Ainsi, ils ont pointé un doigt accusateur sur le Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (Cetud) qui a initié dans les régions une politique de modernisation du transport inter urbain.
C’est tard dans la nuit que Dame Diagne et ses collègues ont été déférés au parquet. Ils seront fixés sur leur sort le 27 août prochain.
Il s’agit des quatorze taximen de la capitale du Nord qui, fustigeant de payer les taxes de droits de stationnement, sont montés au créneau pour barrer la circulation à l’entrée du pont Faidherbe. Le président du regroupement des chauffeurs de taxi, Dame Diagne, et 13 autres manifestants interpellés à la suite des incidents du mardi devant le commissariat central de Sor, ont été finalement placés sous mandat de dépôt par le procureur de la République, pour troubles à l’ordre public.
Ces chauffeurs ont refusé de s’acquitter du paiement des taxes de droits de stationnement qui s’élèvent à 4000 F C FA arguant que depuis la mise en circulation des bus Tata sur certaines lignes comme Rue de Paris, Léona et autres axes situés à l’intérieur des quartiers, leurs revenus journaliers ont connu une baisse dramatique. Ainsi, ils ont pointé un doigt accusateur sur le Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (Cetud) qui a initié dans les régions une politique de modernisation du transport inter urbain.
C’est tard dans la nuit que Dame Diagne et ses collègues ont été déférés au parquet. Ils seront fixés sur leur sort le 27 août prochain.
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