La situation est loin d’être reluisante à l’Ucad. Les séances de remédiation initiées par les autorités butent sur des obstacles. L’union nationale des parents d’élèves du Sénégal (UNAPES) souligne des failles.
Pour le président de l’UNAPES, Abdoulaye Fané qui s’exprimait sur les ondes d’Iradio, les autorités avaient largement le temps de réhabiliter l’université. Il appelle ainsi à une discussion inclusive pour une solution efficace et durable.
Des séances de remédiations étaient initiées mais les remèdes tardent à faire effet. Une situation qui inquiète l’union nationale des parents d’élèves du Sénégal (UNAPES).
« Nous sommes vraiment désolés et très inquiets. Ce que nous déplorons en premier est que comment peuvent-ils attendre depuis les émeutes de juin jusqu’au mois de janvier et que les dispositions n’ont pas étaient prises pour que quand même tout ce qu’il avait comme dégâts puissent être réparés », déplore M. Fané.
Le président de l’UNAPES, Abdoulaye Fané s’interroge également sur le choix des cours de remédiation hors de l’enceinte de l’Ucad. « Comment peut-on faire des cours au niveau d’une foire ? Déjà ça sonne mal. Faire des cours dans une foire, dans un institut islamique, alors que les infrastructures existent et qu’il fallait tout simplement les réhabilités », s’indigne –t-il.
L’UNAPES appelle à un « dialogue inclusif et sincère" pour trouver une solution rapide à ce problème. Convoquer toutes les entités représentatives du système dont le personnel de l’enseignement et du système pour qu’on essaye de chercher une solution par rapport à ça. »
L’attente devient longue et du côté des étudiants, des enseignants et des parents d’élèves. Les autorités tentent de trouver la bonne formule pour résoudre l’équation à plusieurs degrés.
Pour le président de l’UNAPES, Abdoulaye Fané qui s’exprimait sur les ondes d’Iradio, les autorités avaient largement le temps de réhabiliter l’université. Il appelle ainsi à une discussion inclusive pour une solution efficace et durable.
Des séances de remédiations étaient initiées mais les remèdes tardent à faire effet. Une situation qui inquiète l’union nationale des parents d’élèves du Sénégal (UNAPES).
« Nous sommes vraiment désolés et très inquiets. Ce que nous déplorons en premier est que comment peuvent-ils attendre depuis les émeutes de juin jusqu’au mois de janvier et que les dispositions n’ont pas étaient prises pour que quand même tout ce qu’il avait comme dégâts puissent être réparés », déplore M. Fané.
Le président de l’UNAPES, Abdoulaye Fané s’interroge également sur le choix des cours de remédiation hors de l’enceinte de l’Ucad. « Comment peut-on faire des cours au niveau d’une foire ? Déjà ça sonne mal. Faire des cours dans une foire, dans un institut islamique, alors que les infrastructures existent et qu’il fallait tout simplement les réhabilités », s’indigne –t-il.
L’UNAPES appelle à un « dialogue inclusif et sincère" pour trouver une solution rapide à ce problème. Convoquer toutes les entités représentatives du système dont le personnel de l’enseignement et du système pour qu’on essaye de chercher une solution par rapport à ça. »
L’attente devient longue et du côté des étudiants, des enseignants et des parents d’élèves. Les autorités tentent de trouver la bonne formule pour résoudre l’équation à plusieurs degrés.
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