Ahmadou Elimane Sall, Censeur du lycée Seydina Issa Rouhou Laye, sise au Parcelles Assainies plus précisément au quartier Fadja, à fait savoir que le concept «Ubi téy diangue téy » n’est pas réalisable au sein de son établissement. « Le concept ‘’Ubi téy Jiangue téy’’ c’est un peu éloigné de la réalité. C’est une idée seulement. Ce n’est pas réalisable à l’heure qu’il est. Même si les emplois du temps sont disponibles, les professeurs sont là, mais il y’a quelques problèmes aux quels nous sommes confrontés. Ces problèmes pour qu’on puisse les réglés, il faut que les inscriptions commencent, il faut qu’il ait de l’argent des fonds. Il faut savoir que les établissements fonctionnent avec un budget qui découle des inscriptions. Parce qu’il faut qu’on désinfecte les salles de classes, désherber la surface, qu’on nettoie les locaux pour qu’on puisse démarrer », informe M. Sall. Avant d’ajouter que : « Les locaux ne sont pas disponibles, disposés à recevoir des élèves et des professeurs. Voilà pourquoi on ne pas réaliser le concept ‘’Ubi téy Jiangue téy’’ ».
Il termine par fait savoir que : « L’essentiel des fonds que les établissements utilisent pour fonctionner, vient de la contribution des parents d’élèves qu’on appelait autre fois inscription. Maintenant on ne parle plus d’inscription, on parle de contribution des parents d’élèves. Aujourd’hui, c’est une journée de nettoyage qui est en cours. Demain et après demain nous allons désinfecter les locaux. Pour se débarrasser des microbes, les bactéries, les mouches avant de recevoir les élèves c’est la moindre des choses. Donc au plutôt les cours démarreront lundi prochain. Nous consacrerons le reste de la semaine pour confiner les dernier détailles. Et à partir de lundi, les professeurs entrerons en classe », a conclus Ahmadou Elimane Sall, le proviseur par intérim et actuel Censeur, du lycée Seydina Issa Rouhou Laye.
Même son de cloche au CM de l’U5 des Parcelles Assainie. Selon Monsieur Gueye, principal dudit Collège, et Madame Seynabou Guèye, Directrice de l’école élémentaire toujours à l’unité 5. Là, les élèves se font toujours désirés. « Nous sommes un établissement de 12 classes. L’administration et les enseignants sont présents. Mais les élèves ne sont pas là, ils se font toujours désirés. Donc pour que ce concept « Ubi téy diangue téy » soit applicable, il faut des élèves. Les autorités doivent négocier avec les parents d’élèves », a suggéré la directrice l’école des P.A.F, Mme Guèye.
Cheikh Tidiane Faye, directeur de l’école des parcelles Assainies A, U6, lui aussi interpelé sur le concept, « Ubi téy diangue téy » dit qu’il n’a pas été pratiqué. « Nous ne voyons pas d’élèves, les salles de classes ne sont pas prêtes. Nous sommes à peut près 700 élèves, on a juste une centaine d’élèves qui se sont présentés ce matin. Donc nous ne pouvons pas appliquer ce concept. Il faut le dire, se sont les parents qui ont maintenant cette habitude de retenir les enfants à la maison. On dit qu’on ouvre les inscriptions au mois de mai, mais ici le premier élève que l’on inscrit c’est au mois d’octobre. Et ils vont continuer à s’inscrire jusqu’au moi de novembre », tonne Cheikh Tidiane Faye.
Mr Ibrahima Diagne, de dire : « Pour la rentrée scolaire les parents ne sont pas entièrement au rendez-vous. Il y a quelques élèves qui sont venus. Donc le concept « Ubi téy Jang téy » n’est pas probablement praticable. Il ne peut pas être opérationnel. Le personnel est là, nous avons juste observé une seule absente justifié, parce qu’elle est malade. La tendance c’est toujours cela parce que les élèves ne viennent pas toujours le jour de la rentrée. Ils attendent deux à trois jours pour venir ».
Il termine par fait savoir que : « L’essentiel des fonds que les établissements utilisent pour fonctionner, vient de la contribution des parents d’élèves qu’on appelait autre fois inscription. Maintenant on ne parle plus d’inscription, on parle de contribution des parents d’élèves. Aujourd’hui, c’est une journée de nettoyage qui est en cours. Demain et après demain nous allons désinfecter les locaux. Pour se débarrasser des microbes, les bactéries, les mouches avant de recevoir les élèves c’est la moindre des choses. Donc au plutôt les cours démarreront lundi prochain. Nous consacrerons le reste de la semaine pour confiner les dernier détailles. Et à partir de lundi, les professeurs entrerons en classe », a conclus Ahmadou Elimane Sall, le proviseur par intérim et actuel Censeur, du lycée Seydina Issa Rouhou Laye.
Même son de cloche au CM de l’U5 des Parcelles Assainie. Selon Monsieur Gueye, principal dudit Collège, et Madame Seynabou Guèye, Directrice de l’école élémentaire toujours à l’unité 5. Là, les élèves se font toujours désirés. « Nous sommes un établissement de 12 classes. L’administration et les enseignants sont présents. Mais les élèves ne sont pas là, ils se font toujours désirés. Donc pour que ce concept « Ubi téy diangue téy » soit applicable, il faut des élèves. Les autorités doivent négocier avec les parents d’élèves », a suggéré la directrice l’école des P.A.F, Mme Guèye.
Cheikh Tidiane Faye, directeur de l’école des parcelles Assainies A, U6, lui aussi interpelé sur le concept, « Ubi téy diangue téy » dit qu’il n’a pas été pratiqué. « Nous ne voyons pas d’élèves, les salles de classes ne sont pas prêtes. Nous sommes à peut près 700 élèves, on a juste une centaine d’élèves qui se sont présentés ce matin. Donc nous ne pouvons pas appliquer ce concept. Il faut le dire, se sont les parents qui ont maintenant cette habitude de retenir les enfants à la maison. On dit qu’on ouvre les inscriptions au mois de mai, mais ici le premier élève que l’on inscrit c’est au mois d’octobre. Et ils vont continuer à s’inscrire jusqu’au moi de novembre », tonne Cheikh Tidiane Faye.
Mr Ibrahima Diagne, de dire : « Pour la rentrée scolaire les parents ne sont pas entièrement au rendez-vous. Il y a quelques élèves qui sont venus. Donc le concept « Ubi téy Jang téy » n’est pas probablement praticable. Il ne peut pas être opérationnel. Le personnel est là, nous avons juste observé une seule absente justifié, parce qu’elle est malade. La tendance c’est toujours cela parce que les élèves ne viennent pas toujours le jour de la rentrée. Ils attendent deux à trois jours pour venir ».
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