D’emblée, le DGD a indiqué que l’ère de l’autoritarisme était révolue pour laisser la place à la concertation adossée à la loi et au règlement. Pour lui, l’usager est devenu roi auprès du service public. Il a par ailleurs chaleureusement remercié ces partenaires pour leur attitude exemplaire lors de la période marquée par les dysfonctionnements du nouveau système GAINDE.
Dans le même ordre d’idées, le chef de l’Administration des Douanes a annoncé la mise en œuvre prochaine du projet de dématérialisation des procédures de dédouanement (moins de papier). Cette évolution est incontournable pour le développement des activités du commerce extérieur au Sénégal, a-t-il fait remarquer. Tous les acteurs doivent s’y préparer par la formation et l’information. La douane s’emploiera à accompagner ses partenaires dans ce processus.
S’agissant de certains frais de douane, l’administration s’engage à les rationaliser pou alléger les opérateurs économiques. C’est ainsi que la Prestation Informatique douanière (PID), le Travail supplémentaire commercial (TSC) et les frais d’escorte devraient faire l’objet d’un paiement unique et électronique par le biais d’un ticket libératoire. Cela aura le mérite de faire gagner du temps et de l’argent aux créateurs de richesses. Pour les mêmes soucis d’accélération du dédouanement, la Cellule Scanner, devrait, en phase pilote, aller vers un fonctionnement à feu continu pour permettre un enlèvement plus rapide des marchandises. Le bureau de Kidira va aussi bientôt fonctionner 24 h/24h pour les marchandises vers le Mali. De même, la Direction des Enquêtes est en phase de réorganisation pour mieux jouer son rôle de contrôle après dédouanement et désengorger ainsi les bureaux de première ligne.
Le Directeur général des douanes a informé ses hôtes de la mise en place avant la fin de l’année d’un Programme de partenaires privilégiés (PPP). Le projet piloté par la direction de la Facilitation et du partenariat avec l’Entreprise va octroyer des faveurs aux opérateurs vertueux. Les transitaires et commerçants se sont réjouis de cette initiative de l’Administration des Douanes qui instaure un dialogue permanent avec ses partenaires. Ils ont souligné le fait qu’aucun opérateur économique n’ait été mis en prison par la Douane depuis 2010, signe d’un regain de confiance.
Ils ont demandé à la Douane de prendre en compte leurs préoccupations dans la réforme en cours du Code des Douanes. Doléance prise en compte, selon le Directeur de la Règlementation douanière. Les opérateurs économiques ont aussi sollicité de la Douane de mettre en place un comité de suivi des décisions issues des concertations pour leur application effective au niveau de tous les échelons. Le Directeur des opérations douanières a été chargé d’organiser, en compagnie de ses services, des réunions régulières avec les opérateurs économiques pour corriger tout éventuel dysfonctionnement.
Au total, les responsables de l’Unacois et les transitaires ont qualifié cette rencontre d’utile.
Dans le même ordre d’idées, le chef de l’Administration des Douanes a annoncé la mise en œuvre prochaine du projet de dématérialisation des procédures de dédouanement (moins de papier). Cette évolution est incontournable pour le développement des activités du commerce extérieur au Sénégal, a-t-il fait remarquer. Tous les acteurs doivent s’y préparer par la formation et l’information. La douane s’emploiera à accompagner ses partenaires dans ce processus.
S’agissant de certains frais de douane, l’administration s’engage à les rationaliser pou alléger les opérateurs économiques. C’est ainsi que la Prestation Informatique douanière (PID), le Travail supplémentaire commercial (TSC) et les frais d’escorte devraient faire l’objet d’un paiement unique et électronique par le biais d’un ticket libératoire. Cela aura le mérite de faire gagner du temps et de l’argent aux créateurs de richesses. Pour les mêmes soucis d’accélération du dédouanement, la Cellule Scanner, devrait, en phase pilote, aller vers un fonctionnement à feu continu pour permettre un enlèvement plus rapide des marchandises. Le bureau de Kidira va aussi bientôt fonctionner 24 h/24h pour les marchandises vers le Mali. De même, la Direction des Enquêtes est en phase de réorganisation pour mieux jouer son rôle de contrôle après dédouanement et désengorger ainsi les bureaux de première ligne.
Le Directeur général des douanes a informé ses hôtes de la mise en place avant la fin de l’année d’un Programme de partenaires privilégiés (PPP). Le projet piloté par la direction de la Facilitation et du partenariat avec l’Entreprise va octroyer des faveurs aux opérateurs vertueux. Les transitaires et commerçants se sont réjouis de cette initiative de l’Administration des Douanes qui instaure un dialogue permanent avec ses partenaires. Ils ont souligné le fait qu’aucun opérateur économique n’ait été mis en prison par la Douane depuis 2010, signe d’un regain de confiance.
Ils ont demandé à la Douane de prendre en compte leurs préoccupations dans la réforme en cours du Code des Douanes. Doléance prise en compte, selon le Directeur de la Règlementation douanière. Les opérateurs économiques ont aussi sollicité de la Douane de mettre en place un comité de suivi des décisions issues des concertations pour leur application effective au niveau de tous les échelons. Le Directeur des opérations douanières a été chargé d’organiser, en compagnie de ses services, des réunions régulières avec les opérateurs économiques pour corriger tout éventuel dysfonctionnement.
Au total, les responsables de l’Unacois et les transitaires ont qualifié cette rencontre d’utile.
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