A l’approche de l’échéance tant attendue du 25 février 2024, nous assistons depuis quelque temps à une multitude de candidatures à l’élection présidentielle.
Tous les candidats déclarés (en attendant de passer l’étape fatidique des parrainages), se présentent tel le messie de qui viendra toutes les solutions à nos maux. Entre ceux qui promettent la rupture avec le système actuel et ceux qui promettent l’émergence, le jeu s’annonce alléchant.
Tous ces candidats s’engagent et promettent de redonner au Sénégal toute sa dignité et son utonomie perdue ; certains même promettent d’être le président de tous les Sénégalais (l’on se rappel de cette phrase lors de l’élection présidentielle de 2012 ).
Devrait-on être naïf pour croire à toutes ces promesses ? De toutes façons les promesses n’engagent que ceux y croient ?
Je suis pour ma part sceptique pour un fait aussi simple que banal… Il y a quelques jours le président Tunisien, Kaïs Saïed pour ne pas le nommer, a tenu des propos outrageants, déshonorants, humiliants pour ne pas dire insultants à l’endroit des peuples noirs
notamment ceux de l’Afrique subsaharienne, et personne parmi tous ces candidats déclarés ne s’est indigné.
Nous devons quand même à la vérité saluer l’intervention énergique et ferme de l’ancienne première ministre Aminata Touré qui non seulement s’est indignée de tels propos mais est allée jusqu’à proposer des mesures de sanctions.
Présider aux destinées d’un peuple comme le Sénégal c’est d’abords et avant tout clamer haut et fort sa dignité et sa fierté d’homme noir et défendre en toute circonstance sa sacralité.
Aujourd’hui tous les leaders devraient mettre de côté leurs égos et s’indigner vigoureusement et pourquoi pas imposer à l’état des mesures de rétorsions fortes (qu’on ne nous dise surtout pas que la diplomatie à ses réalités !).
Pourquoi devons-nous toujours être du côté des victimes ? Sommes-nous la poubelle du monde ou chacun pour se donner de la légitimé ou sauver son pouvoir en péril doit tirer sur les africains ?
Le discours de Nicolas Sarkozy à Dakar, les propos de l’ancien président Américain Trump à l'égard des pays d’Afrique sont encor fraîches dans nos mémoires. Je serais tenté de croire
à l’adage bien de chez nous qui dit … BOUKI BOU YABBE WAKHABANE SA DOKHINE BA LA !
Face à l’inaction des autorités et des hommes politiques, c’est au peuple noir de prendre ses responsabilités et de se faire respecter …Personne ne le fera à notre place !
Une solution toute simple BOYCOTTONS LES COMPAGNIES TUNISIENNES et laissons leurs leur pays pour commencer !
Par El Hadj Hafiz SECK
Président du mouvement des Cadres du Parti de l’Action Citoyenne (PAC)
Tous les candidats déclarés (en attendant de passer l’étape fatidique des parrainages), se présentent tel le messie de qui viendra toutes les solutions à nos maux. Entre ceux qui promettent la rupture avec le système actuel et ceux qui promettent l’émergence, le jeu s’annonce alléchant.
Tous ces candidats s’engagent et promettent de redonner au Sénégal toute sa dignité et son utonomie perdue ; certains même promettent d’être le président de tous les Sénégalais (l’on se rappel de cette phrase lors de l’élection présidentielle de 2012 ).
Devrait-on être naïf pour croire à toutes ces promesses ? De toutes façons les promesses n’engagent que ceux y croient ?
Je suis pour ma part sceptique pour un fait aussi simple que banal… Il y a quelques jours le président Tunisien, Kaïs Saïed pour ne pas le nommer, a tenu des propos outrageants, déshonorants, humiliants pour ne pas dire insultants à l’endroit des peuples noirs
notamment ceux de l’Afrique subsaharienne, et personne parmi tous ces candidats déclarés ne s’est indigné.
Nous devons quand même à la vérité saluer l’intervention énergique et ferme de l’ancienne première ministre Aminata Touré qui non seulement s’est indignée de tels propos mais est allée jusqu’à proposer des mesures de sanctions.
Présider aux destinées d’un peuple comme le Sénégal c’est d’abords et avant tout clamer haut et fort sa dignité et sa fierté d’homme noir et défendre en toute circonstance sa sacralité.
Aujourd’hui tous les leaders devraient mettre de côté leurs égos et s’indigner vigoureusement et pourquoi pas imposer à l’état des mesures de rétorsions fortes (qu’on ne nous dise surtout pas que la diplomatie à ses réalités !).
Pourquoi devons-nous toujours être du côté des victimes ? Sommes-nous la poubelle du monde ou chacun pour se donner de la légitimé ou sauver son pouvoir en péril doit tirer sur les africains ?
Le discours de Nicolas Sarkozy à Dakar, les propos de l’ancien président Américain Trump à l'égard des pays d’Afrique sont encor fraîches dans nos mémoires. Je serais tenté de croire
à l’adage bien de chez nous qui dit … BOUKI BOU YABBE WAKHABANE SA DOKHINE BA LA !
Face à l’inaction des autorités et des hommes politiques, c’est au peuple noir de prendre ses responsabilités et de se faire respecter …Personne ne le fera à notre place !
Une solution toute simple BOYCOTTONS LES COMPAGNIES TUNISIENNES et laissons leurs leur pays pour commencer !
Par El Hadj Hafiz SECK
Président du mouvement des Cadres du Parti de l’Action Citoyenne (PAC)
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