C’est parce que souligne le président, « tout comme la démocratie et le respect de l’Etat de droit, la gestion vertueuse des affaires publiques est, plus que jamais, une exigence citoyenne. C’est aussi un impératif économique absolu et une question d’équité et de justice sociale ».
Macky SALL est ainsi revenu sur les réformes qui accompagnent ce processus. La mise en place de l’Office National Anti-corruption (OFNAC) doté de larges pouvoirs de saisine et d’investigation pour traduire en actes notre aspiration commune à une gestion saine, soucieuse de la sauvegarde de l’intérêt public. Les réformes au niveau de la Cour des Comptes pour renforcer son indépendance et ses moyens d’intervention, notamment avec l’institution d’un Parquet général.Il en est de même de la publication par l’Inspection générale d’Etat d’un rapport annuel sur l’état de la gouvernance publique.
Etant conscient des remous de ces changements parce que souligne le président « toute dynamique de changement dérange ; parce qu’elle ébranle des certitudes, parce qu’elle bouscule des habitudes établies et, que, pour certains, elle remet en cause des acquis et des privilèges indus », pourtant précise t-il « rien ne me détournera de l’objectif de bonne gouvernance ».
Ainsi « toutes les procédures engagées en matière d’audits et d’enquêtes sur des ressources et biens mal acquis seront rigoureusement menées jusqu’à leur terme » et « personne ne peut se soustraire de l’obligation de transparence et de rendre compte ».
« Et la justice suivra son cours », conclut-il sur ce sujet.
Macky SALL est ainsi revenu sur les réformes qui accompagnent ce processus. La mise en place de l’Office National Anti-corruption (OFNAC) doté de larges pouvoirs de saisine et d’investigation pour traduire en actes notre aspiration commune à une gestion saine, soucieuse de la sauvegarde de l’intérêt public. Les réformes au niveau de la Cour des Comptes pour renforcer son indépendance et ses moyens d’intervention, notamment avec l’institution d’un Parquet général.Il en est de même de la publication par l’Inspection générale d’Etat d’un rapport annuel sur l’état de la gouvernance publique.
Etant conscient des remous de ces changements parce que souligne le président « toute dynamique de changement dérange ; parce qu’elle ébranle des certitudes, parce qu’elle bouscule des habitudes établies et, que, pour certains, elle remet en cause des acquis et des privilèges indus », pourtant précise t-il « rien ne me détournera de l’objectif de bonne gouvernance ».
Ainsi « toutes les procédures engagées en matière d’audits et d’enquêtes sur des ressources et biens mal acquis seront rigoureusement menées jusqu’à leur terme » et « personne ne peut se soustraire de l’obligation de transparence et de rendre compte ».
« Et la justice suivra son cours », conclut-il sur ce sujet.
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