Aminata Tall a donné, hier vendredi 31 mai, les clés du Conseil économique, social et environnemental (Cese) à sa successeur Aminata Touré. Elle est revenue sur toute la polémique qui a suivi son éviction de la tête de cette institution et a essayé tant bien que mal de cacher son amertume... en jouant la carte de la foi en Dieu et du fair-play.
"Je rends grâce à Dieu, car toute personne qui a travaillé d'arrache-pied a droit à un repos. Quand on se réveille tôt pour aller au boulot, le soir on est obligé de descendre pour aller manger, dormir, se consacrer à Dieu et puis se lever le lendemain pour passer à autre chose; quiconque ne croit pas à cela n’est pas un musulman, encore moins un être humain. C’est ça notre conviction.", a-t-elle déclaré.
Aminata Tall de rappeler: "quand le président me confiait le Cese, il ne m’avait pas demandé mon avis. Je disais tout le temps au président de la République qu’il faut donner le Conseil à un tel. Mais c’est à moi qu’il l’a finalement confié."
La responsable politique de Diourbel a tenu à calmer les ardeurs de ses partisans qui ont voulu porter le combat à sa place : "Vous savez, quand la chance sourit, personne ne peut s’y opposer. Donc, cela ne vaut pas la peine de se chamailler ni de se bagarrer, et j’en suis consciente. C’est parce que ma mission devait s’achever aujourd’hui que cela s’est fait."
"Je rends grâce à Dieu, car toute personne qui a travaillé d'arrache-pied a droit à un repos. Quand on se réveille tôt pour aller au boulot, le soir on est obligé de descendre pour aller manger, dormir, se consacrer à Dieu et puis se lever le lendemain pour passer à autre chose; quiconque ne croit pas à cela n’est pas un musulman, encore moins un être humain. C’est ça notre conviction.", a-t-elle déclaré.
Aminata Tall de rappeler: "quand le président me confiait le Cese, il ne m’avait pas demandé mon avis. Je disais tout le temps au président de la République qu’il faut donner le Conseil à un tel. Mais c’est à moi qu’il l’a finalement confié."
La responsable politique de Diourbel a tenu à calmer les ardeurs de ses partisans qui ont voulu porter le combat à sa place : "Vous savez, quand la chance sourit, personne ne peut s’y opposer. Donc, cela ne vaut pas la peine de se chamailler ni de se bagarrer, et j’en suis consciente. C’est parce que ma mission devait s’achever aujourd’hui que cela s’est fait."
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