L’ancien chef de cabinet du président de la République ne s'arrête plus de critiquer les décisions et choix de son mentor Macky Sall. Suite aux révélations de Mamadou Lamine Diallo, déclarant que le chef de l’Etat est prêt à allouer une somme de deux (2) milliards au chef de l’opposition afin de les occuper sur le scandale du pétrole et du gaz. Un os à ronger que Moustapha Diakhaté qualifie "d’une rente anachronique, à éviter absolument".
Pour lui, « ce serait une incongruité que d’envisager d’allouer des fonds politiques au chef de l’opposition au moment où l’Etat procède à des coupes substantielles sur la facture téléphonique de ses agents et de baisse drastique d’autres dépenses de fonctionnement de l’administration ».
De ce fait ; « en donnant un seul Franc de CFA au cabinet du supposé chef de file de l’opposition, c’est une autre façon d’accréditer l’idée selon laquelle la classe politique sénégalaise a la main libre dans la caisse de l’Etat.
Donc, « une telle mesure immole la crédibilité de la politique de rationalisation des dépenses de l’Etat. »
Estimant que « l’urgence n’est pas désigné un Chef encore moins de financer son cabinet à une opposition aussi fragmentée, aussi morcelée, aussi balkanisée » mais, « de doter le Sénégal d’une puissante Loi rendant inaliénables et imprescriptibles les droits de l'opposition tels que : 1. être consultés sur les grandes préoccupations nationales sur lesquelles ils doivent se prononcer. 2. Disposer un libre accès aux informations par voie d'audience spéciale dans les ministères et administrations publiques. L'audience est accordée à la requête des partis politiques de l’opposition ou sur invitation des autorités. 3. Avoir un libre accès des partis de l’opposition aux médias d'Etat au même titre et dans les mêmes conditions que les partis de la majorité », préconise l’ancien parlementaire.
Pour lui, « ce serait une incongruité que d’envisager d’allouer des fonds politiques au chef de l’opposition au moment où l’Etat procède à des coupes substantielles sur la facture téléphonique de ses agents et de baisse drastique d’autres dépenses de fonctionnement de l’administration ».
De ce fait ; « en donnant un seul Franc de CFA au cabinet du supposé chef de file de l’opposition, c’est une autre façon d’accréditer l’idée selon laquelle la classe politique sénégalaise a la main libre dans la caisse de l’Etat.
Donc, « une telle mesure immole la crédibilité de la politique de rationalisation des dépenses de l’Etat. »
Estimant que « l’urgence n’est pas désigné un Chef encore moins de financer son cabinet à une opposition aussi fragmentée, aussi morcelée, aussi balkanisée » mais, « de doter le Sénégal d’une puissante Loi rendant inaliénables et imprescriptibles les droits de l'opposition tels que : 1. être consultés sur les grandes préoccupations nationales sur lesquelles ils doivent se prononcer. 2. Disposer un libre accès aux informations par voie d'audience spéciale dans les ministères et administrations publiques. L'audience est accordée à la requête des partis politiques de l’opposition ou sur invitation des autorités. 3. Avoir un libre accès des partis de l’opposition aux médias d'Etat au même titre et dans les mêmes conditions que les partis de la majorité », préconise l’ancien parlementaire.
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