Par rapport au nombre de soldats sénégalais retenus en otage par des forces rebelles de la Casamance, le journaliste activiste dans la résolution de la crise casamançaise a fait de nouvelles révélations. En effet, au lieu du chiffre 6 avancé par la Direction de L’Information et des Relations Publiques des Armées (DIRPA), l’ancien directeur de publication du Mag Confidentiel déclare que « les soldats de l’armée sénégalaise, détenus par les rebelles dans le maquis, sont au nombre de 28 et non pas 6 et ils étaient plus nombreux que ça, mais entre-temps, certains ont pu prendre la fuite ».
Son livre « Processus de paix en Casamance, l’après Diamacoune » constitue une bombe de révélations. « Il y a, par exemple dans le livre l’accord entre Macky Sall et Attika (la branche armée des rebelles) qui est fondamental pour la libération des otages militaires détenus en zone rebelle et les négociations ont commencé avant la campagne électorale », indique Amadou Ly Diome qui renseigne que « malheureusement il a eu une contrainte de temps qui a fait que Macky n’a pu se plier aux conditions posées par Attika ».
Le journaliste de l’agence de presse française (RCA Presse) qui a eu à communiquer avec bon nombre de chefs rebelles de la Casamance a également lâché les biscuits sur les relations entre l’Etat du Sénégal et les chefs rebelles. « Ceux qui sont dans l’entourage du président de la République, Me Wade, et qui prétendaient détenir la solution miracle et qui disaient rencontrer dans le maquis des chefs rebelles racontent des contrevérités », fulmine M. Diome.
Toutefois, précise le co-auteur du livre, seul l’ancien ministre des affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, était sur le point de réussir une signature de paix historique pour le compte du gouvernement du Sénégal.
Son livre « Processus de paix en Casamance, l’après Diamacoune » constitue une bombe de révélations. « Il y a, par exemple dans le livre l’accord entre Macky Sall et Attika (la branche armée des rebelles) qui est fondamental pour la libération des otages militaires détenus en zone rebelle et les négociations ont commencé avant la campagne électorale », indique Amadou Ly Diome qui renseigne que « malheureusement il a eu une contrainte de temps qui a fait que Macky n’a pu se plier aux conditions posées par Attika ».
Le journaliste de l’agence de presse française (RCA Presse) qui a eu à communiquer avec bon nombre de chefs rebelles de la Casamance a également lâché les biscuits sur les relations entre l’Etat du Sénégal et les chefs rebelles. « Ceux qui sont dans l’entourage du président de la République, Me Wade, et qui prétendaient détenir la solution miracle et qui disaient rencontrer dans le maquis des chefs rebelles racontent des contrevérités », fulmine M. Diome.
Toutefois, précise le co-auteur du livre, seul l’ancien ministre des affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio, était sur le point de réussir une signature de paix historique pour le compte du gouvernement du Sénégal.
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