L’Association des Maires du Sénégal (AMS), réclament plus de considération à leur égard. Les maires dénoncent l’insuffisance des ressources allouées aux collectivités locales. Ce qui constitue, pour eux un frein à l’accomplissement de leur mission. Un état des faits symbolisé, selon eux, par la diminution de leurs salaires suite à l’entrée en vigueur de l’acte III de la décentralisation. De 500 mille F CFA, la somme est passée à 300 mille pour certains. A cela s’ajoute leur volonté d’être dotés d’un moyen de transport et d’une pension de retraite. « Aujourd’hui, certaines collectivités locales sont dans l’impossibilité de payer les salaires. Depuis trois mois, les salariés ne parviennent pas à rentrer dans leur fonds. Et ce problème risque de prendre de l’ampleur. D’autres maires seront bientôt dans cette situation », à déclaré hier, le maire Alioune Sall.
Pour remédier à ces problèmes, les maires demandent à l’Etat de créer les conditions d’un dialogue entre tous les acteurs pour une relecture de certains aspects techniques de l’acte III. Surtout sur les questions liées à l’augmentation des ressources et la mutualisation des moyens. Selon le journal « Enquête » qui donne l’information, l’AMS salue l’orientation générale ainsi que la politique qui a été définie dans l’acte III de la décentralisation.
Pour remédier à ces problèmes, les maires demandent à l’Etat de créer les conditions d’un dialogue entre tous les acteurs pour une relecture de certains aspects techniques de l’acte III. Surtout sur les questions liées à l’augmentation des ressources et la mutualisation des moyens. Selon le journal « Enquête » qui donne l’information, l’AMS salue l’orientation générale ainsi que la politique qui a été définie dans l’acte III de la décentralisation.
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