L’arrêt de la CREI en date du 22 mars 2015, rendu par des magistrats soigneusement choisis par Macky SALL et qui viole l’ordre public international, comme l’ont constaté la Cour de Justice de la CEDEAO, le groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire et les pays étrangers qui ont refusé l’exécution sur leur territoire du jugement de cette juridiction d’exception, n’en a pas moins jugé ainsi :
«Considérant que le ministère public a requis l’interdiction pour les condamnés de l’exercice des droits civiques, civils et de famille mentionnés dans l’article 34 du Code Pénal ;
Considérant qu’en vertu des dispositions de l’article 35 dudit code, les tribunaux ne prononceront cette interdiction que lorsqu’elle aura été autorisée par une disposition particulière de la loi ;
Considérant qu’en l’espèce, les prévenus ont été déclarés coupables d’enrichissement illicite et de complicité dudit délit ;
Considérant que l’article 163 bis du Code Pénal qui prévoit et réprime le délit précité, n’autorise ni n’ordonne l’interdiction mentionnée dans l’article 34 précité ; qu’il y a lieu, dans ces conditions, de ne pas prononcer ladite interdiction» ;
«Considérant que le ministère public a requis l’interdiction pour les condamnés de l’exercice des droits civiques, civils et de famille mentionnés dans l’article 34 du Code Pénal ;
Considérant qu’en vertu des dispositions de l’article 35 dudit code, les tribunaux ne prononceront cette interdiction que lorsqu’elle aura été autorisée par une disposition particulière de la loi ;
Considérant qu’en l’espèce, les prévenus ont été déclarés coupables d’enrichissement illicite et de complicité dudit délit ;
Considérant que l’article 163 bis du Code Pénal qui prévoit et réprime le délit précité, n’autorise ni n’ordonne l’interdiction mentionnée dans l’article 34 précité ; qu’il y a lieu, dans ces conditions, de ne pas prononcer ladite interdiction» ;
Les Libéraux appellent au front contre Macky Sall
Le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) considère que les violations répétées de la constitution, des lois et des règles de notre démocratie constituent une véritable déclaration de guerre.
Il demande à tous ses militants, sympathisants et soutiens de se mobiliser, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, et de faire face avec courage et détermination à un régime de dictature.
Macky SALL a décidé de plonger le Sénégal dans un chaos politique et une crise électorale sans précédent dans l’histoire de notre démocratie qui a toujours été donnée en exemple jusqu’à ce qu’il arrive au pouvoir. Il portera l’entière responsabilité de cette situation et répondra de ses actes le moment venu, tout comme ses complices.
Le Parti Démocratique Sénégalais rappelle que son candidat, Karim Meïssa WADE, qui jouit de tous ses droits civils, civiques et de famille, réunit toutes les conditions de l’article 28 de notre Constitution pour participer à la prochaine élection présidentielle.
C’est pourquoi le PDS et son candidat Karim WADE continuent sereinement de préparer l’élection présidentielle du 24 février 2019.
Notre parti exige que l’élection présidentielle soit organisée par une institution autonome dirigée par une personnalité consensuelle avec la participation de tous ceux qui réunissent les conditions dans lesquelles la présidentielle de 2012 a été organisée. Notre parti exige également la libération immédiate et sans conditions de Khalifa SALL détenu arbitrairement et dont les droits à un procès juste et équitable ont été violés comme l’a jugé la Cour de justice de la CEDEAO.
Le Parti Démocratique Sénégalais n’acceptera pas qu’une élection soit organisée sans son candidat désigné, Karim Meïssa WADE.
Notre parti appelle toutes les Sénégalaises et tous les Sénégalais, attachés aux valeurs de démocratie, à la restauration de l’état de droit et au droit du peuple sénégalais de se choisir librement ses dirigeants et de prendre en main son propre destin, à se mobiliser fortement pour un succès éclatant des manifestations que l’opposition organise le 13 juillet 2018. Ces manifestations doivent être le début d’une résistance permanente et ordonnée contre un système d’oppression que Macky SALL veut nous imposer pour que lui, sa famille et son clan puissent continuer à piller les maigres ressources de notre pays.
Il demande à tous ses militants, sympathisants et soutiens de se mobiliser, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, et de faire face avec courage et détermination à un régime de dictature.
Macky SALL a décidé de plonger le Sénégal dans un chaos politique et une crise électorale sans précédent dans l’histoire de notre démocratie qui a toujours été donnée en exemple jusqu’à ce qu’il arrive au pouvoir. Il portera l’entière responsabilité de cette situation et répondra de ses actes le moment venu, tout comme ses complices.
Le Parti Démocratique Sénégalais rappelle que son candidat, Karim Meïssa WADE, qui jouit de tous ses droits civils, civiques et de famille, réunit toutes les conditions de l’article 28 de notre Constitution pour participer à la prochaine élection présidentielle.
C’est pourquoi le PDS et son candidat Karim WADE continuent sereinement de préparer l’élection présidentielle du 24 février 2019.
Notre parti exige que l’élection présidentielle soit organisée par une institution autonome dirigée par une personnalité consensuelle avec la participation de tous ceux qui réunissent les conditions dans lesquelles la présidentielle de 2012 a été organisée. Notre parti exige également la libération immédiate et sans conditions de Khalifa SALL détenu arbitrairement et dont les droits à un procès juste et équitable ont été violés comme l’a jugé la Cour de justice de la CEDEAO.
Le Parti Démocratique Sénégalais n’acceptera pas qu’une élection soit organisée sans son candidat désigné, Karim Meïssa WADE.
Notre parti appelle toutes les Sénégalaises et tous les Sénégalais, attachés aux valeurs de démocratie, à la restauration de l’état de droit et au droit du peuple sénégalais de se choisir librement ses dirigeants et de prendre en main son propre destin, à se mobiliser fortement pour un succès éclatant des manifestations que l’opposition organise le 13 juillet 2018. Ces manifestations doivent être le début d’une résistance permanente et ordonnée contre un système d’oppression que Macky SALL veut nous imposer pour que lui, sa famille et son clan puissent continuer à piller les maigres ressources de notre pays.
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