Les tensions ont commencé en fin de journée, lundi, au moment où des groupes de manifestants qui convergeaient vers le sit-in ont été stoppés par les forces de sécurité. On a pu entendre des tirs nourris et plusieurs personnes ont été prises en charge par les médecins bénévoles.
Durant la nuit, d’autres manifestants sont venus grossir les rangs de ceux qui occupent, depuis le 6 avril , les abords du quartier général de l’armée. Dans une grande confusion, certains affirmant que des miliciens les auraient attaqués et les forces de sécurité assurant, elles, que des manifestants les auraient agressées.
Ces nouvelles violences surviennent au moment où le Conseil militaire et les représentants civils sont parvenus à trouver un premier accord sur la structure du futur gouvernement de transition, c’est-à-dire comment sera dirigé le pays jusqu’aux prochaines élections, qui devraient se tenir dans deux ou quatre ans. Les discussions politiques devraient reprendre dans la journée ce mardi.
Au même moment, on apprenait que le président déchu Omar el-Béchir venait d’être inculpé pour le meurtre de manifestants en décembre dernier, début du soulèvement contre le gouvernement. Une première dans ce pays qui sort à peine de plus de trente ans de dictature.
Durant la nuit, d’autres manifestants sont venus grossir les rangs de ceux qui occupent, depuis le 6 avril , les abords du quartier général de l’armée. Dans une grande confusion, certains affirmant que des miliciens les auraient attaqués et les forces de sécurité assurant, elles, que des manifestants les auraient agressées.
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