À l’exception du ministère des Forces armées, la fonction de Haut fonctionnaire de défense concerne tous les ministères dont le département de la Justice, des Affaires étrangères, des Finances et du Budget. Chaque ministre de tutelle sera assistée dans la prise en charge des questions liées à la défense et à la sécurité. Selon le décret parcouru par nos confrères de E-media : « ce cadre sera notamment chargé d’animer, de coordonner la politique en matière de défense, de sécurité, de prévention de crise, de situation d’urgence et de contrôler la préparation des mesures d’application. »
Le Haut fonctionnaire de défense, qui a également des « responsabilités en matière de sécurité » est « chargé de préparer, dès le temps de paix, les mesures propres à assurer la continuité de l’administration et une sécurité optimale en cas d’évènement grave. » Côté profil, le décret indique qu’il est choisi selon les critères suivants :
- être un fonctionnaire civil de la hiérarchie A ou militaire (colonel avec trois (03) ans de grade minimum, en activité ou à la retraite) ;
- avoir, au minimum, quinze (15) années révolues d’expérience professionnelle ;
- avoir occupé pendant au moins trois (03) années un poste stratégique dans le domaine de la défense et de la sécurité ou avoir occupé de hautes fonctions de direction, de supervision ou de conseil dans l’administration publique ; - avoir les prédispositions nécessaires pour tenir cet emploi.
« La loi 70-23 du 06 juin 1970, portant organisation générale de la défense nationale prévoit la désignation d’un Haut fonctionnaire de défense (Hfd) au sein des ministères pour la mise en œuvre des dispositions relatives à la défense et à la sécurité en ce qui concerne les mesures de sauvegarde applicables au niveau du département ministériel auquel il est rattaché », campe le document, qui souligne ainsi « le contexte sécuritaire national, régional et global (qui) exige un effort interne de prévention, de préparation et de planification. D’autant plus que ces taches importantes ne pourraient être réalisées sans l’adoption de mesures pratiques à chaque échelon, coordonnées et systématisées au niveau central. »
De même, la prise en compte de ces préoccupations par notre pays exige, en plus de la synergie d’action entre forces de défense et de sécurité, une bonne coordination au niveau interministériel. Dès lors, il est indispensable, indique-t-on, que les ministères soient assistés dans cette fonction d’un Haut fonctionnaire de défense et disposent « d’un cadre de haut rang, chargé de l’organisation et du maintien en condition opérationnelle du dispositif ministériel de situation d’urgence. »
Avec E-media
Le Haut fonctionnaire de défense, qui a également des « responsabilités en matière de sécurité » est « chargé de préparer, dès le temps de paix, les mesures propres à assurer la continuité de l’administration et une sécurité optimale en cas d’évènement grave. » Côté profil, le décret indique qu’il est choisi selon les critères suivants :
- être un fonctionnaire civil de la hiérarchie A ou militaire (colonel avec trois (03) ans de grade minimum, en activité ou à la retraite) ;
- avoir, au minimum, quinze (15) années révolues d’expérience professionnelle ;
- avoir occupé pendant au moins trois (03) années un poste stratégique dans le domaine de la défense et de la sécurité ou avoir occupé de hautes fonctions de direction, de supervision ou de conseil dans l’administration publique ; - avoir les prédispositions nécessaires pour tenir cet emploi.
« La loi 70-23 du 06 juin 1970, portant organisation générale de la défense nationale prévoit la désignation d’un Haut fonctionnaire de défense (Hfd) au sein des ministères pour la mise en œuvre des dispositions relatives à la défense et à la sécurité en ce qui concerne les mesures de sauvegarde applicables au niveau du département ministériel auquel il est rattaché », campe le document, qui souligne ainsi « le contexte sécuritaire national, régional et global (qui) exige un effort interne de prévention, de préparation et de planification. D’autant plus que ces taches importantes ne pourraient être réalisées sans l’adoption de mesures pratiques à chaque échelon, coordonnées et systématisées au niveau central. »
De même, la prise en compte de ces préoccupations par notre pays exige, en plus de la synergie d’action entre forces de défense et de sécurité, une bonne coordination au niveau interministériel. Dès lors, il est indispensable, indique-t-on, que les ministères soient assistés dans cette fonction d’un Haut fonctionnaire de défense et disposent « d’un cadre de haut rang, chargé de l’organisation et du maintien en condition opérationnelle du dispositif ministériel de situation d’urgence. »
Avec E-media
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