Trois (3) trafiquants, More Cissé, El hadji Bèye et Massamba Mbaye, ont été arrêtés en flagrant délit de détention, circulation, commercialisation d’espèces protégées au Sénégal. Ils étaient en effet, en possession 271 objets en ivoire sculpté représentant 5 kilos et demi d’ivoire d’éléphant, ainsi que 256 défenses de phacochères pour une valeur totale estimée à 8.5 millions de CFA. S’y ajoutent 271 défenses de phacochère, soit 136 animaux abattus. La saisie s’élève à 4.500.000 F CFA. Ce réseau a été démantelé lors de deux opérations menées par les éléments de la SU, du ministère de l’Environnement et du Développement durable et du projet SALF.
L’ivoire fournirait environ 40% des fonds nécessaire au groupe Al-Shaabab pour se maintenir en activité et déstabiliser l’Afrique de l’Est et du Centre. Ces mêmes mouvements terroristes dont le Sénégal se soucie beaucoup actuellement en renforcent sa sécurité sur l’ensemble du territoire. Désormais cette inquiétude concerne aussi l’Afrique de l’Ouest, dans le pays voisins au Mali, un cinquième des éléphants ont été tués pour alimenter le trafic d’ivoire depuis début 2015 et selon la MINUSMA, mission de maintien de la paix de l’ONU au Mali, cette recrudescence est liée aux activités des groupes jihadistes dans le pays.
Les 3 trafiquants arrêtés, ne possèdent selon la loi, aucune autorisation d’abattage, de capture ou de ramassage ou de commercialisation de cette animal hautement braconné au Sénégal pour sa viande « bon marché » et ses défenses facile à sculpter et à faire passer pour de l’ivoire d’éléphant auprès de l’acheteur sont recherchées par les artisans commerçants en objets d’ art du pays. Ce commerce illicite est lié à la corruption, le blanchiment d'argent et le trafic d'autres produits tels que les armes et la drogue. Il engendre instabilité en Afrique et entretient le terrorisme. L’ivoire, qui est une crise environnementale, économique et sécuritaire, est devenu une préoccupation majeure pour les gouvernements du monde. L’affaire est entre les mains de la Justice sénégalaise. Souhaitons que la loi soit appliquée dans toute sa rigueur, livre « Libération ».
L’ivoire fournirait environ 40% des fonds nécessaire au groupe Al-Shaabab pour se maintenir en activité et déstabiliser l’Afrique de l’Est et du Centre. Ces mêmes mouvements terroristes dont le Sénégal se soucie beaucoup actuellement en renforcent sa sécurité sur l’ensemble du territoire. Désormais cette inquiétude concerne aussi l’Afrique de l’Ouest, dans le pays voisins au Mali, un cinquième des éléphants ont été tués pour alimenter le trafic d’ivoire depuis début 2015 et selon la MINUSMA, mission de maintien de la paix de l’ONU au Mali, cette recrudescence est liée aux activités des groupes jihadistes dans le pays.
Les 3 trafiquants arrêtés, ne possèdent selon la loi, aucune autorisation d’abattage, de capture ou de ramassage ou de commercialisation de cette animal hautement braconné au Sénégal pour sa viande « bon marché » et ses défenses facile à sculpter et à faire passer pour de l’ivoire d’éléphant auprès de l’acheteur sont recherchées par les artisans commerçants en objets d’ art du pays. Ce commerce illicite est lié à la corruption, le blanchiment d'argent et le trafic d'autres produits tels que les armes et la drogue. Il engendre instabilité en Afrique et entretient le terrorisme. L’ivoire, qui est une crise environnementale, économique et sécuritaire, est devenu une préoccupation majeure pour les gouvernements du monde. L’affaire est entre les mains de la Justice sénégalaise. Souhaitons que la loi soit appliquée dans toute sa rigueur, livre « Libération ».
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