Le Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a accordé ce jeudi un entretien à la presse étrangère, en prélude de la commémoration du 80e anniversaire du massacre de Thiaroye, communément appelé Thiaroye 44. Dans ses déclarations, le chef de l'État a abordé sans détour la question de la présence de militaires français sur le sol sénégalais.
« Le Sénégal est un pays indépendant, c’est un pays souverain, et la souveraineté ne s’accommode pas de la présence de bases militaires étrangères sur son territoire », a-t-il affirmé.
Il a poursuivi : « Soixante-quatre ans après l’indépendance, les autorités françaises doivent envisager un partenariat dépourvu de cette présence militaire, mais un partenariat riche, fécond, privilégié et global, comme nous l’avons avec beaucoup d’autres pays. La présence ou l'absence de bases militaires ne doit pas être synonyme de rupture. »
Pour étayer ses propos, le Président Diomaye a cité les exemples des relations entre le Sénégal et des pays comme la Chine, la Turquie, les États-Unis ou l'Arabie Saoudite. « Tous ces pays-là n’ont pas de base militaire au Sénégal », a-t-il souligné.
« Le Sénégal est un pays indépendant, c’est un pays souverain, et la souveraineté ne s’accommode pas de la présence de bases militaires étrangères sur son territoire », a-t-il affirmé.
Il a poursuivi : « Soixante-quatre ans après l’indépendance, les autorités françaises doivent envisager un partenariat dépourvu de cette présence militaire, mais un partenariat riche, fécond, privilégié et global, comme nous l’avons avec beaucoup d’autres pays. La présence ou l'absence de bases militaires ne doit pas être synonyme de rupture. »
Pour étayer ses propos, le Président Diomaye a cité les exemples des relations entre le Sénégal et des pays comme la Chine, la Turquie, les États-Unis ou l'Arabie Saoudite. « Tous ces pays-là n’ont pas de base militaire au Sénégal », a-t-il souligné.
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